No need to argue anymore ~ feat Hayden

No need to argue anymore
Mike ~ Hayden

Après les événement de Glasgow, le quadra s'était terré dans son appartement, A faire les cents pas, à ruminer, à boire. Les gestes qu'il avait fait ce soir là, il les avait revu en boucle, encore et encore. Ses choix, ses...erreurs ? Bien sur qu'il avait commis une faute, fait un choix que peu lui pardonneraient, mais comment aurait il pu vivre lui en en ayant fait un autre ? Et s'il devait payer le prix de ses actions, quel qu'il soit, il assumerait pour peu qu'on lui laisse l'occasion de s'expliquer. Pas pour s'excuser ou se chercher une voie de sortie. Juste pour qu'on sache pourquoi il l'avait fait. Il avait sciemment désobéi à un ordre, abandonnant deux de ses cousines métamorphes, cousines... sœurs puisqu'elles faisaient partie de la meute... les abandonnant pour courir s'assurer que Charlie s'en tirait. Alors, il n'irait pas pleurer comme d'autre, prétexter que ses années de loyauté à toute épreuves pouvaient bien lui valoir cet écart, il assumerait, justement par respect pour ces années, pour ne pas trahir ce qu'il avait été jusqu'ici. Ne pas faire de vague, rester à sa place. Seulement, il n'arrivait pas à regretter son choix. Et si son Ulfric voulait sa tête pour avoir désobéi à ses ordres, il la lui offrirait volontiers puisqu'il savait qu'elle allait bien. Comment aurait-il put continuer à servir à quoi ou à qui que ce soit s'il avait perdu la seule chose qui lui restait ressemblant un tant soit à une famille ? La meute c'était ses frères, ses sœurs, mais Charlie était sa fille. Le sang, les gènes, n'avaient aucune importance, elle était sa fille et Sam la considérait comme sa sœur. Et même après avoir vidé plusieurs bouteilles, après avoir arpenté en long et en large chaque mètre carré de son appartement, il revenait toujours au même point, l'homme et le loup était au moins d'accord là dessus, elle en valait la peine. Quoi qu'elle ai put faire, elle en valait la peine.

Alors quand il avait reçu cette convocation, cet ordre sec et sans appel, il avait répondu, résigné. Et c'est résigné qu'il prenait une grande inspiration, le poing prêt à toquer à la porte du bureau derrière laquelle il serait enfin fixé sur les conséquences de ses actes. Il avait appris qu'Aleksandra et Roxane s'en étaient toutes deux tirées, qu'elles allaient bien. Il ne comptait pas vraiment là dessus pour effacer ce qu'il avait fait mais il soulageait au moins sa conscience. Elles allaient bien. Il n'avait pas contribué à leur mort ou à quelque sort pire encore. D'autres étaient tombés, trop, mais il n'était pas responsable de ceux là. Il se raccrochait aussi au fait qu'il n'avait pas non plus tenté de soustraire Charlie à la correction qu’elle avait reçue ce soir là, mieux encore il avait tenter de l’arrêter dans sa fuite. Mais c'était une bien maigre ligne de défense et il en avait pleinement conscience. Qu'importe, il assumerait. Quoi qu'il arrive. Ne pas faire de vague. Rester à sa place. Il accepterait la décision qui tomberait aujourd'hui, qu'elle qu'elle soit. Charlie en valait la peine... oui, elle en valait la peine.

Nouvelle inspiration, puis il toquait enfin. Il présenterait ses respects, puis il assumerait....

La situation était plus tendue que jamais avec les humains. Je collectais sur mon ordi personnel toutes les infos qui allaient dans le sens d'un carnage lupin orchestré par les autorités au moment où celles-ci avaient envoyé des renforts pour combattre le Chaos au cœur de Glasgow et il y en avait des tas. Rien ne s'était bien passé, ce soir là. Le Chaos était infiniment trop fort, il était aussi un grand perturbateur. Il ne s'agissait pas d'une armée, pas non plus d'une organisation véritablement ordonnée et disciplinée. Difficile de lutter contre des types en civil qui se promènent parmi le reste du monde. Personnellement, j'avais bien eu du mal à les repérer dans le carnage ambiant et devant lutter contre mes propres pulsions, je m'étais retrouvé à me battre contre les plus faibles des loups garous qui avaient succombé à la tentation et à l'impulsion née du démon. C'était quelque chose que je regrettais, nous n'étions tout simplement pas assez fort. Cela devait changer. Nous devions nous remettre à niveau, nous entraîner à redevenir ce que nous étions à la base. Des tueurs. Pour cela il nous fallait une plus grande discipline et une implication plus grande dans les affaires de la Meute. Il fallait tout augmenter, tout perfectionner. Revenir aux bases. Cela revenait à lâcher la bride à certaines choses, certains instincts que nous avions.

J'avais les tripes qui se tordaient, car j'avais convoqué Mike Rivera ce soir. Cet homme sur lequel je me reposais avait connu lui aussi quelques difficultés à Glasgow et son comportement était symptomatique de la Meute que j'avais contribué à créer. Il avait fait passer les liens affectifs avant le reste. Je ne savais pas encore vraiment quoi lui dire, mais je savais que les mots sortiraient tout seul. Le loup en moi, l'Ulfric, étaient déjà en rage de ce que l'on m'avait rapporté. Il n'en fallait pas beaucoup plus en règle générale pour que je me contrôle tout à fait. Je l'entends toquer. Je sais que c'est lui ; je l'ai senti malgré la porte close entre nous.

| Entre, Mike. |

Je le laisse venir, me présenter ses respects. Je coule vers lui un regard sombre.

| Je pense que tu sais déjà pourquoi je t'ai fait venir, Bolverk? Tu as abandonné ton groupe à Glasgow alors qu'ils avaient besoin de toi. Pour rejoindre Charlie McAllister. J'aimerai entendre tes raisons... J'aimerai vraiment beaucoup les entendre. |

No need to argue anymore
Mike ~ Hayden

Une certaine appréhension, une certaine frayeur. Et pourtant il était prêt à tout assumer, il avait passé ses derniers jours à s’en convaincre. Alors il ne cillait pas, ne tremblait pas, même en entendant le ton sec et formel de son Ulfric l’invitant à entrer. Il refermait derrière lui, puis s’adonnait aux formalités d’usages, saluant son Alpha avec le respect qu’il lui devait. Il comptait faire amande honorable, et quel que soit la décision que ce dernier avait pu prendre à son égard, le quadra ne donnerait pas raison à ceux qui médisaient déjà dans son dos, il avait commis une erreur mais il n’oubliait pas sa place pour autant. Et comme il s’y attendait, Valentyne ne perdait pas un seul instant à tourner autour du pot, et Mike de rester droit comme un i, presque militairement afin de montrer qu’il ne reniait rien, ne tentait pas de se dédouaner en vain. Il acquiesçait même, sans lâcher pour autant le point invisible qu’il fixait sur le mur du fond de la pièce. Un bref instant il se demandait si son Ulfric savait réellement qu’il n’était partit que pour Charlie ou s’il le déduisait simplement, le connaissant trop bien… il n’en avait parlé à personne, n’avait rien prémédité, et puisqu’il était tombé sur Charlie totalement par hasard finalement… est ce que ça valait la peine de tenter de mentir là-dessus, de dire que voyant que les filles s’en sortaient bien, il avait cherché à voir si personne n’avait besoin de lui ailleurs et était arrivé sur le port un peu sans savoir où il allait, courant à l’instinct. Ce n’était pas si éloigné de la vérité si on y réfléchissait bien, il avait suivi son instinct purement et simplement. Seulement mentir…. Et puis lui laisserait-on le choix et le temps de s’expliquer ? Il en doutait fortement. Aussi ouvrait-il de grands yeux ronds, se décidant enfin à lâcher son repère sur le mur pour tourner la tête vers Valentyne. Il se serait presque exclamé à voix haute, surpris qu’il était qu’il veuille en effet entendre ce qu’il avait à dire. Bien d’autres dans sa position se seraient contenté d’appliquer leur sanction sans autre forme de procès. Certes là personne ne lui garantissait que ses mots serviraient à quoi que ce soit où ils auraient le moindre impact, mais il prenait au moins le temps de poser la question.

Ses raisons… mentir ? Pour quoi faire…. Il ne l’avait jamais fait jusqu’à présent, il était hors de question qu’il commence.

« J’ai agi à l’instinct. »

Il marquait une pause, soupirait, prenait une grande inspiration et enchainait avec les précisions.

« Je sais que j’étais assigné à un secteur, que j’avais une certaine responsabilité envers celles et ceux qui s’y trouvaient. Je sais que je leur ai fait faux bond et je n’ai aucune excuses à donner, ni ne ferais la moindre tentative pour me dédouaner de ça. Seulement, elles s’en sortaient bien, j’ai cru que je pouvais… non, je n’ai rien cru du tout, j’ai agi par instinct, j’ai cessé de raisonner. J’ai eu besoin de voir si je pouvais la trouver. Besoin de m’assurer qu’elle allait bien. Besoin de… »

Il soupirait de nouveau, serrait les poings, fermait les yeux. Ce n’était pas un plaidoyer mais de simples explications, pourtant il les voulait le plus clair possible aussi cherchait il ses mots avant de poursuivre.

« Elle n’est pas mon sang mais c’est tout comme. Jamais je ne l’aurais faite passer avant l’intérêt général, je ne serais pas parti si les autres avaient eu réellement besoin de moi. Maintenant que ceci est dit, oui, j’ai abandonné mon poste et oui, ça aurait pu couter très cher à ceux que j’ai laissés sur place. Je n’ai aucune excuse, mais je vous remercie d’avoir pris le temps d’écouter mes raisons. »

Il avait insisté sans vraiment y prendre garde sur le fait que tout ceci aurait pu mal tourner, aurait seulement. Les choses s’étaient bien plus mal passées dans d’autres secteurs ou personne n’avait abandonné son poste et pour lesquels il n’était pas responsable. Là aussi, l’instinct prenait visiblement le dessus, il se croyait prêt à assumer ses actes mais peut être qu’inconsciemment, il ne l’était finalement pas tant que ça…

Je suis en colère, et sans réussir à me calmer elle ne fait que s'aggraver qu'un peu plus à chaque seconde. J'ai l'impression que toutes les décisions que j'ai pu prendre sont des erreurs, que je n'aurais jamais dû prendre mes réformes. Que je n'aurais pas dû faire confiance comme je l'ai fait. Plus le temps passe et plus je comprends mon père, plus j'adhère à sa brutalité. Certaines choses, inutilement cruelles au premier abord, sont en fait nécessaires. Et plutôt deux fois qu'une. J'avais cru que je pouvais impulser la création d'une Nouvelle Meute. J'avais déjà perdu ma Lupa, et plusieurs de mes loups s'étaient fait abattre par les humains comme de vulgaire cabots. Beaucoup d'autres avaient été blessés. Là où il y avait une grande brutalité, il y avait eu de la discipline. Aujourd'hui, c'était le chacun pour soi. Le Bolverk, exécuteur de plus expérimenté et le plus âgé de tous les loups de la Meute, était à mes yeux le symptôme le plus évident de mon échec. Le loup est droit, sérieux. Résigné. Il sait quelle a été sa faute mais il n'en imagine peut-être pas la portée. Pas encore, mais cela viendra. J'allais la lui expliquer. Il le fallait. C'était douloureux, dès maintenant même. Je voyais dans ce regard qui ne croisait pas le mien le reflet de ma défaite, de l'abaissement de mes idéaux à rien de plus que des idées qui avaient fait long feu. La Meute telle que je la voulais ne pouvait pas exister. C'était une utopie. En cas de conflit, nous allions tout perdre, car nous n'étions tout simplement pas prêts. Pour rien. Je l'écoute donc, me déballer ses arguments les uns après les autres.

Il me confirme déjà ce que j'avais compris. L'instinct. Le manque de discipline, donc. L'abaissement général de notre capacité de réaction aux problèmes qui pouvaient s'élever devant nous. Il m'explique son besoin viscéral de venir en aide à Charlie, une louve pourtant bannie, un simple cabot. Une traîtresse, qui nous avait tous mis en danger. Ma décision était déjà prise. Il m'explique toute la profondeur et la complexité du lien qui les rapproche. Je le dévisage toujours du même regard sérieux et souverain. S'imagine t'il que cela plaide en sa faveur ? Je ne crois pas. Il a saisi l'occasion au vol de venir en aide à quelqu'un qui lui tenait particulièrement à cœur. Je laisse le pouvoir, la puissance de mon loup, m'envahir complètement. Je sais ce que je suis. Je sais ce que j'ai à faire.

Ce métier aura ma putain de peau.

| Tu as déserté les rangs de ton groupe et comme tu l'as dit, cela aurait pu leur coûter très cher. J'essaie de bâtir un monde nouveau où nous pourrions compter véritablement les uns sur les autres, et pas uniquement servir les intérêts de quelques-uns. Charlie McAllister ne l'a absolument pas compris, et cela l'a exclue de notre Meute. Et toi, tu la défends elle plutôt que les nôtres. Tu montres que l'individu prime toujours sur le groupe dans cette Meute que j'essaie de construire. |

J'inspire. J'essaie de me calmer, mais mon loup me pousse à accroître encore l'expression de ma déception, de ma puissance, de ma domination. Je suis le fils de mon père, même si je tiens vent debout pour mes idéaux.

| Tu ne peux plus être mon Bolverk. Les loups et les métamorphes n'ont plus confiance en toi, ni moi. Tu n'as pas montré l'exemple au moment le plus crucial, tu n'as pas su montrer à tous la force qu'ils devaient incarner. J'attendais et j'attends toujours mieux de toi. Je ne te bannis pas pour autant, la Meute a besoin de toi et je te laisse une dernière chance de faire tes preuves. Mais tu ne mèneras plus les nôtres au cœur de la tourmente. |

No need to argue anymore
Mike ~ Hayden

Aucune excuse. Il avait tout résumé sur ses derniers mots. Et s'il craignait déjà la sanction qui ne saurait tarder, il s’était fait une raison. Il avait eu le temps de cogiter là dessus, de mourir chaque mot de son explication, mais également de se préparer à assumer ce qui suivrait. Il l'avait déçu, inutile de se voiler là face là dessus. Il avait déçu son Ulfric et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu'il était en train de se demander ce qu'ils auraient pensé de lui, les autres. Son père l'aurait pris pour un fou, sans aucun doute, l'aurait traité d'imbécile avant d'encourager l'Alpha a se faire plus sévère encore. Ses frères... il n'en avait pas la moindre idée, ils lui auraient tourné le dos probablement, l'aurait renié, l'auraient fuit. Son fils, ah son fils. Peut être était-ce pour cela aussi qu'il se tenait là en ne montrant pour ainsi dire que trop peu de craintes face à ce qui allait lui arriver. Bien plus que de voir s’abattre sur lui la colère de son Ulfric, s'il avait du voir la déception dans les yeux de son fils, ça l'aurait tué. Et nul doute que malgré toute l'affection que Sam avait pour Charlie, il n'aurait pas pardonné à son père de s'être mis en disgrâce de la sorte.

Instinctivement, il baissait les yeux quand Il s'adressait à lui, lui rappelant ses fautes, celles de Charlie qui rendaient la sienne plus grave encore. L'individu prime sur le groupe. Lui qui avait pourtant prôné le contraire tant de fois.. et il n'avait rien à répondre à ça, il s'était montré faible. Faible et lâche. Incapable de luter contre son instinct. Et l'instinct encore, plus il sentait monter la colère de son Ulfric, plus il se sentait nerveux. La peur était elle en train de refaire surface alors qu'il pensait se tenir prêt ? Qui l'en blâmerait après tout. Et la suite, il l’écoutait en se mordant la joue, les yeux clos. La honte et le soulagement, voilà ce qui se disputait ses émotions à présent que le verdict tombait. Il n'était plus Bloverk, il ne le méritait plus, il le savait et c'était là sa honte. Son soulagement venait de la décision de lui laisser une chance. Bien qu'il n'était pas sur de la mériter non plus. Il relevait la tête, ne cherchant pas à croiser son regard pour autant.

« Je ferais mon possible pour me montrer digne de cette seconde chance. Je comprends ceux qui n'ont plus confiance en moi, vous le premier et bien que je doute pouvoir jamais réparer ça, je m'efforcerais de ne plus décevoir la meute, ne plus vous décevoir.»

La honte. Il n'y avait plus que ça, le soulagement avait été éphémère, il lui fallait à présent affronter le regard inquisiteur de ceux qui guetteraient la moindre de ses erreurs. Mais il ne flancherait pas, il ne flancherait plus. Il n'en avait plus le droit.

Quand on est chef ou en tous cas responsable de quelque chose ou de quelqu'un, on n'a pas le choix. Il faut être juste. Cela veut dire être dur aussi, parfois. Quand on dépasse les bornes il ne peut plus y avoir qu'une seule issue en tant que leader. Enfin, une seule issue vraiment favorable. On tranche dans le vif et on acquiert des avantages, quitte à se séparer de quelques éléments. C'était ainsi. Rien n'était jamais définitif, par contre, on pouvait rapidement tout perdre. De fait, il n'y avait rien d'autre de permanent que l'échec. J'estimais que la Meute avait suffisamment morflé comme cela sans que je laisse les choses continuer d'empirer de la sorte. L'homme que j'avais en face de moi avait fait preuve de faiblesse. Je ne le punissais en aucun cas pour cet acte en lui-même, mais plutôt pour le moment qu'il avait choisi pour tomber. Il l'avait fait devant d'autres, pour de mauvaises raisons qui ne pouvaient avoir qu'un effet négatif auprès du reste de la Meute et en sus, il s'était montré négligent. Cela faisait beaucoup, surtout en ce qui concernait le loup qui était sensé incarner mon autorité. Je le jugeais donc avec une certaine sévérité, bien conscient que je ne pouvais pas laisser passer cela.

Le loup baisse les yeux quand je m'adresse à lui, et il semble honteux. Honnêtement, il a toutes les raisons de l'être et au delà de ça, il se montre quelque peu nerveux à l'idée d'être ainsi l'objet de ma colère. Il faut dire également que je ne m'énerve que rarement en public et donc, que cela doit créer une certaine gêne quand je finis enfin par péter un câble. Il se laisse dominer par mon loup et me dit qu'il va se saisir de cette nouvelle chance, regretter la perte de confiance qu'il subit du même coup et ne veut plus me décevoir ni décevoir la Meute.

| Bien. Je préfère au moins voir un peu de regrets et de contrition que rien du tout. Je te laisse cette chance et compte sur toi pour ne pas la laisser gaspiller. Ma confiance, tu l'as perdue en tant qu'exécuteur. A toi de me rassurer en tant que loup. A toi de jouer le rôle qui est le tiens auprès de nos jeunes loups. Sois proche d'eux, éduques-les, et reste fort. Alors, on reparlera de tout cela. |

Je le congédie implicitement ; je ne vais pas lui trouver de nouvelles excuses et encore moins lui donner plus d'explications. Il a ce qu'il a mérité, et il ne sert à rien pour nous de nous épancher dans des détails sordides.

Sujet: Re: No need to argue anymore ~ feat Hayden

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