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bar biturique [Livre 1 -Terminé]
MessageSujet: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyMer 22 Déc - 11:27

Désirée devait me rejoindre à 11 heure.Et il était presque minuit,déjà! Je n'avais rien pu avaller ce soir,l'estomac trop barbouillé d'alcool de de Tru... Cela faisait maintenant une semaine que je n'avais pu trouver de pretexte satisfaisant pour aller faire un tour au manoir. J'ai eu du mal à faire l'amour avec suzy,ces derniers jours. Je me sentais tendu,nerveux. J'avais envie des griffures et morsures de désirée malgré la tendresse de ses caresses. Le soir ,je voyais ses yeux inquiets chercher à fouiller mon regard pour y trouver la cause de mon attitude qui, se faisait distante.
Le travail... Les soucis...
Oui je lui mentais, mais quelle autre option avais-je? Suzy m'aimait, je ne pouvais la décevoir en lui disant que je forniquais avec une femme vampire et que j'aimais ça.! J'aimais ça au point de ressentir comme une sensation de manque. J'allais le soir discrétement boire une dose de tru blood, dans la salle de bain ,avant de me brosser les dents, pour essayer de ressentir l'extase de l'ivresse de sans frais parcourant mes veines.Cette griserie qui me donnait la force de supporter les assauts démoniaques et délicieux de Désirée.... cete état ou je me sentais en suspension, ailleurs et que j'associais à l'orgasme absolu en attente que désdirée me procurait, lorsque je jouissais en elle tandis qu'elle suçottais la petite plaie entretenue pas ses habiles coups de langues sur mon poignet. Suzy n'avais jamais remarqué cette blessure,camouflée par ma montre le jour,et par la pénombre de notre alcove la nuit. L'excés de lumiére me donnait des migraines en ce moment, et il m'étais déjà assez difficile de penser à Suzy alors que je désirais désirée sans encore devoir lutter contre la névralgie. Et désirée qui se faisait attendre... J'avais coupé mon bloody mary au tru blood pour me préparer à sa rencontre. Suzy me croyait au dépot d'Endinburgh. La nuit nous appartenait. C'est alors qu'un mouvement de foule attira mon attention. Une femme semblait tituber au mileu d'une grappe d'homme qui tentait de l'évacuer du dance floor...Etait-ce mon manque d'appétit des ces derniers jours qui finissait par m'avoir affaibli au point de subire des phénoménes allucinatoires,

Non aucun doute .C'était bien ,elle, celle qui me faisait me reveiller au petit matin, moite, dans les bras tiédes de Suzy ,encore à demi plongé dans des fantsmes pervers ou son corps sublime remplaçait celui de désirée. C'était elle qui d' habitude était inaccessible,elle qui pour une fois semblait en difficulté, tentant d'un voix pâteuse de convaincre un videur de sa parfaite maîtrise d'elle même. Le surmenage devait sans doute être la cause de son égarement momentané. Si suelement je pouvais convaincre cette Jeanne d'Arc moderne de la lutte contre la criminalité vampirique de venir se resourcer dans mes bras.
Je m'approchai du groupe et ,tapotant sur l'épaule du vigile, je lui signifai que je m'occupais de tout. Il me jaugea, étrangement dubitatif quand à mon aptitude à faire ce que je prétendais. Il me confia cependant le bras de Mademoiselle Andrea en me sermonant quand aux écarts de conduite frisant l'intolérable de cette derniére. Que l'on oses profaner l'image de ma déesse, quel sacrilége. La colére me gagnait et j'eus toutes les peines du monde à me raisoner pour ne pas lui coller mon poing dans la figure. Le fait qu'il fut deux fois plus fort que moi ,certe influa sur ma décision, mais si peu au rregard du frisson d'émoi qui me parb courait en sentant sosu mes doigts la chaire indolente et tiéde de son bras. Je l'entrainai vers le comptoire et l'aidai à se hisser ,certe avec quelque difficultés, sur un tabouret. Tandis qu'elle se cramponnait au bar, visiblement choquée par la malveillance du gorille rustre, je lui commandai un remontant tout en entamant la conversation sur le sujet qui me parraissait le plus apte à la toucher: La cause pour laquelle elle se battait avec une ferveur fascinante

-Mademoiselle Downwood, vraiment ,je suis enchanté. Hugh Tannene, vous vous souvenez... Non? Vraiment? Pue importe. je suis vous le savez trés bien placé pour étudier les moeurs de nos enemis buveurs de sang et je me propse de vous aider...
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyMer 22 Déc - 19:01

Une bouteille. C'était une solution adéquate au problème qui me tenaillait. D'un côté, l'amour inconditionnel et voué à l'échec que j'éprouvais à l'égard de Torben, qui m'avait presque tuée avant de partir à Glasgow, ne cachant rien de la piètre opinion qu'il avait de moi. De l'autre, mes ébats avec Léopold d'Aubusson en échange d'un peu de son sang qui m'aidait à me défoncer pour oublier précisément l'homme dont j'étais amoureuse et la montreuse trahison que je commettais à son encontre à chaque fois que je m'envoyais en l'air avec l'une ou l'autre de mes connaissances. Le fait que je me sois mise à rechercher le plaisir sous les mains des femmes était également révélateur du désastre sans nom que ma vie sentimentale était devenue. J'avais besoin d'oublier tout ça ce soir. La mission s'était mal passée : j'avais retrouvé la trace d'Hannah Badenov, mais le vampire à qui j'avais arraché ces informations parcellaires s'était montré coriace et j'avais dû le tuer en dernier recours, sans parvenir à obtenir de lui les informations manquantes pour localiser la jeune humaine. Frustrée et énervée, j'étais rentrée à l'hôtel, avais fait mon rapport succinct à Silviano sans évoquer Hannah, puis m'étais enfermée dans ma chambre pour ruminer. Je n'avais vraiment pas envie de voir Léopold. Alors j'avais sauté dans la voiture que je gardais dans les sous-sols de l'hôtel, et j'avais conduit vers Glasgow. Ville où se trouvait Torben certes, mais également la belle Krystel qui saurait peut-être me procurer quelques heures de plaisir à défaut d'autre chose. Mais m'avilir encore dans les bras de vampires ? Mmm... Mauvaise idée.

La bouteille était donc la solution. Mais boire là, toute seule, dans ma voiture ? Pff. Ridicule. Mieux valait sortir et m'amuser un peu, quitter pour un moment la cuirasse rigide de la soldate de Dieu pour me glisser dans la peau de la femme jeune et un peu insouciante que j'aurais pu devenir si mon père n'avait jamais posé les mains sur moi. Un petit changement de garde-robe parmi les vêtements de rechange que je gardais toujours dans le coffre, et hop : adieu le jean et la veste en cuir, bonjour la jupe et le haut moulant. Tenue de rigueur pour une infiltration dans les boîtes à vampires, et également particulièrement appropriée pour mes projets de la soirée. Je choisis une boîte de nuit visiblement huppée et me fis admettre d'un sourire.

Après... cela devenait un peu flou dans ma tête. Je me souvenais de quelques verres avalés, de mon idée d'aller voir ce qu'il se passait sur la piste. Je me sentais bien et j'avais envie de m'amuser un peu – aussi ne réprimai-je pas trop violemment les mains baladeuses et les propositions grivoises. Bien sûr, il me fallut quelques instants pour saisir ce que me voulait au juste la harpie qui me colla deux claques en me traitant d'allumeuse, avant d'entraîner mon cavalier actuel hors de la piste. Je titubai un peu sur mes talons, et tentai de convaincre les videurs que j'étais parfaitement capable de me tenir. Bon, l'élocution pâteuse ne plaisait pas vraiment en ma faveur, mais zut à la fin ! Je n'avais rien fait de mal. J'avais tout de même conscience d'être bien atteinte, surtout quand les brumes de l'alcool matérialisèrent devant moi un visage familier, mais que je ne remis pas du tout sous l'effet de l'ivresse.

Je savais juste que l'instinct qui me venait était de lui taper dessus. Étrange. Ce n'était pourtant pas un vampire. Il m'entraîna vers le bar, et je pouvais sentir nettement la chaleur de ses doigts sur mon bras. Température humaine. Je me hissai tant bien que mal sur un tabouret qui tanguait d'une manière totalement scandaleuse et me cramponnai au comptoir pour ne pas aller embrasser le plancher qui oscillait lui aussi d'une façon très suspecte. Ce bar était louche : comment voulez-vous que je reste ferme sur mes appuis alors que le mobilier me prenait en traître, franchement ? Mon sauveur me commanda un verre et se présenta. Tilt. Je n'écoutai pas sa tirade, bloquée sur le nom. Hugh Tannen ! Mais oui. Effectivement, je l'avais déjà frappé. Il commençait d'ailleurs déjà à me prendre la tête.

« Ta gueule. Je bois. »
D'un geste approximatif, je saisis le verre en répandant un peu de son contenu, et avalai une lampée. Hum. La brûlure de l'alcool dans la gorge était bienvenue. Je fixai un regard un peu éméché sur Hugh et tâchai de me remémorer dans quelles circonstances exactement je l'avais tabassé. C'était un indic, vraisemblablement, je me rappelais de lui en train de me donner des informations. J'avais dû le menacer pour qu'il ne révèle rien de ma couverture aux vampires, oui... Mais il y avait autre chose. La manière dont il avait serré mon bras flotta dans mon esprit brumeux. Des avances, peut-être ? Ah oui, certainement... Ça me revenait maintenant. Hé bien, ivre ou pas ivre, ce serait pareil. Pas de coucherie. J'avais déjà suffisamment de problème avec les quelques réguliers qui profitaient de mon corps sans ajouter un paumé accro au V et à une vampire. Mais il avait été gentil, quand même... ça méritait peut-être compensation ? Accrochée d'une main au comptoir, le verre maintenant vide dans l'autre, je me penchai vers lui en vacillant et visai soigneusement sa joue avant d'y plaquer une bise sonore.

« Gentil Hugh. J'ai encore soif. »
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyMer 22 Déc - 22:01

Elle m'avait embrassé...certe, sur la joue, certe avec un haleine capable de dégivrer un pare brise de chalutier du côté des southern shettlands; mais le lévres de la diane chasseresse de vampires s'étaient posées sur moi. J'en perdais quelque peu mon self contôle. Frôler de si prés le fantasme m'avait plongé dans une sorte d'état extatique tout aussi sitmulant qu'une rasade de vrai sang vampire, en collation réparatrice aprés une saignée trop conséquente!Ma venus était paf, sans l'ombre d'un doute! Qui sait s isur un malentendu...
Je vidai d'une main peu assurée mon cocktail de tru vodka,partagé entre la crainte de n'être pas à la hauteur de mes ambitions et celle de ne plus trouver d'absolu envisageable aprés avoir donné à celui ci une certaine relativité. Quand on vois les fesses d'une divinité,ça l'humanise tellement vite. Mais il ma fallait reprendre la maitrise de la situation, impétativement. J'avais déjà pris une claque ,au sens propre du terme, d'aileurs, lors d'une précédente tentative d'approche. La cible était verouillée, et affaiblie. Si j'avais une chance de franchir les defenses de mon égérie, c'était ce soir ou jamais. Ne pas la contrarier, surtout et me mefier des élans d'impulsivité dont elel avait déjà su faire montre par le passé. C'était fabuleux de sentir son genoux si pres de....l'endroit précisément auquel je me devais de ne pas penser si je voulais retrouver un commencement de maîtrise de moi. Mêm un peu voutée et l'oeil incertain, elel concervait un magnétisme quasi vampirique. Je le voulais, là, maintenant sur le champ,sur le bar.....Et plus je lachais la bride de ma fantasmagorie, moins mon intellect parvenait à structurer mes mots. Il me fallait être spirituel, léger, pour emporter la tourmente désabusée qui semblait avoir balayé sa redoutable prestance, sur le chemin des tourbillons libidineux et sensuels. Et je restais, interdit,imbécile, à peine encore apte à gerer ma deglution,hypnotisé par ce genou fabuleux!
Je devais dire absolument quelque chose pour qu'elle ne se lasse pas de ma compagnie. Le barman avait déjà remburé par deux fois son verre. Elel buvait cul sec, reposant avec un bruit net son verre sur l' inox du bar. Elel s'enroulait dans la spirale méditative et alcoolisée des ivrognes qui s'ennuyent en compagnie de convives aussi amusants qu'un veuf inconsolé au sortir du crématorium. Il me fallait l'extirper de sa torpeur avant qu'elle soit trop saoule cete pour me repousser ,mais aussi pour me prendre! Moi, le chasseur de cuisses légères impénitant, je me sentais proie face à cet animal félin et fascinant!
J'osai me pencher vers elle, et ecarter d'un revers timide et tremblant de la main ses cheveux plus brulants que les flammes de l'enfer pour murmurer, sous la caresse de sa crinére


-J'ai du tru' pour un peu vous redonner petit coup de pep's, si vous voulez...

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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyJeu 23 Déc - 0:11

C'était bizarre d'embrasser ce raté de Hugh. Même avec une simple bise sur la joue, ce n'était tout simplement pas compatible avec la vision intérieure que j'avais toujours eue de ce gars-là : à savoir, dans un cercle écarlate barré de rouge, avec la mention « Jamais de la vie ! » en lettres néon clignotantes. Non pas qu'il ne soit pas bel homme, encore qu'un peu maladif – c'était surtout l'existence de son épouse qui me retenait. Ça, et puis ses ébats avec Désirée Fontaine, aussi. J'avais découvert le pot aux roses par le plus complet des hasards, et en échange des informations de Hugh je ne révélais rien à la douce Suzy Jolie. Parce qu'il avait beau être un coureur de jupons, ce phénomène semblait tenir quelque peu à sa femme.

Bon. Mais moi cela ne m'avançait pas plus. Je descendais verre sur verre et ma vision s'obscurcissait de pair. S'enivrer c'était cool, mais ça ne menait pas à grand chose. J'avais besoin de distractions ce soir, et la présence de ce séducteur à côté de moi ne m'aidait pas vraiment à garder les idées claires. Les œillades du barman était très tentantes également, mais un reste de la prude Andréa, soldate de Dieu, demeurait en moi. Et m'imaginer rentrer bourrée à Édimbourg pour affronter le regard sévère de Silviano Radanti, c'était pas terrible. Quant à songer que Torben puisse entrer dans ce bar et me prendre en pleine beuverie en galante compagnie... ça c'était pas terrible non plus. Comment savoir comment réagirait cet idiot de russe ? Il serait capable de taper un scandale en plein milieu de la boîte... On se battrait peut-être. Ou alors il m'embarquerait de force pour me réexpédier à Silviano pieds et poings liés. Ou bien il se chargerait personnellement de mon châtiment...

Rien que de penser à ce que mon soldat aigri et hargneux pourrait me faire, mon imagination s'emballa et mon corps s'enflamma. Je fis passer la bouffée de chaleur sous un nouveau verre et tentai de chasser Torben et les pensées charnelles qui l'accompagnaient loin de mon esprit. Une fois dégrisée, peut-être que j'irais défoncer sa porte à coups de hache pour lui démonter la tête, mais pour l'heure actuelle je voulais boire et rien d'autre. Rien d'autre, Andréa, rien d'autre !! Sois sage !! Et c'est pas parce que Hugh te fait les yeux doux que tu vas céder et terminer la soirée dans ses bras. Non non non non non, c'était une mauvaise idée, c'était pas un bon plan du tout, c'était déraisonnable, c'était dangereux, c'était risqué, c'était terriblement tentant, c'était une idée à explorer et peut-être tout de suite d'ailleurs. J'allais céder et me pencher vers lui pour lui souffler mes idées lorsqu'il me devança de quelques secondes pour me faire une suggestion.

« Tru Blood, c'teuh salop'rie ? Beerk. »
Je tanguai un peu sur mon assise alors que je me tournai vers lui. Le flou du mouvement ne cessa pas et il me fallut quelques secondes pour focaliser mon regard. Histoire de pas m'écrouler par terre, je tendis ma main libre et m'appuyai sur son épaule avant d'en arriver au stade où je m'effondrerais sur ses genoux à cause du plancher fourbe. Je déglutis avec effort avant de m'adresser à lui. Les mots ne sortaient pas totalement comme je l'aurais voulu, mais l'idée y était.

« L'mieux, c'est l'vrai truc, t'sais. »
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyJeu 23 Déc - 19:26

Etait-ce l'ivresse de la sentir acchrochée à moi?...Oui je ne rêvais pas, elle avait empoigné mon épaule....et elle me tutoyait! Mais ,non, ce n'était pas imaginable, même dans mes rêves les plus fous....Elle, la pure, l'immaculée,qui ,comme moi, était adepte du "V". L'imaginer, elle, dans une folle bacchanale rythmée par les pulsations extatiques du "V" bouillonant dans nos veines me mettait dans un état d'excitation indicible. Il fallait que je boive moi aussi pour assimiler l'impact. Andrea, elel aussi ,se grisant à la séve e érotico nevrotique des saigneurs nocturnes. Si suelement Désirée pouvait venri à présent,nous faire peut être présent d'un pue de sonn suc stimulant. Du vrai "V" pris à la source, là maintenant...en compagnie, d' Andrea... Non je n'osait pas tenter folie plus oser que d'en faire un fantsme un peu flou. Au point ou nous en étions, je bus une gorgée d'alcool fort ,pur, tiéde dans son propre verre. Le bord du calice avait le gout de son gloss. Sa bouche, si proche, enveloppait mon nez d' effluves alcoolisées... D' ordinaire, j'aurais sorti mon baratin classique ,un mot romantico bateau du genre " quand on boit dans le verre de l'autre on sait une peu de ses pensées. C'était un crash test que j'adorais paratiquer. Si on tombait sur le cruchon romantique, on avait droit au regard digne de l'oeillade pamée de Joséphine pour son Charles. Si on tombait sur le revoltée qui ne voulait pas s' en laisser compter, on avait droit à la provoquation assassine avec le claquement sec du " ah ouais???? Et là je pensais à quoi?" Qui permettait de placer la salve automatique créant la conivence avec le côté lucide revandiqué..."tu penses à degager le penible Dom Juan en solde qui ose une drague aussi ringagrde. Promis j'arrête de te la jouer Romeo mal fini ,je me laisse juste séduire". Mais là, c'était le domaine de l'extraordinaire que j'explorais...C'était Andrea...La fabuluese, la seule la mythique... Il me fallait trouver du grandiose, de l'inédit, faire que ce soit Beaudelaire qui rougisse de n'avoir pas vécu plus tard pour pouvoir me plagier.
Oui mais voilà,moi j' n'étais qu'Hugh, Hugh Tannen, négociant en sang synthétique, trafiquent modeste et pas vriament génial de sentiments contre de l'orgasme,aimant certe les conduites à risques, quitte à floirter avec l'addiction,mais pas au point de faire de ma fureur de vivre une légende romantique rendant les filles humides là ou j'aimais qu'elles le soient! J'avais beau me rendre compte ,tout au fond de moi, qu'a placer cette femme sur un pied d'estalle, je me condamnais à ne jamais pouvoir l'approcher, je n'arivais pas à oser encore cuisiner Andrea comme une grive saoule, marinée à point, préte à embrocher. Elle paralysait ma logique. Je subissais son aura, sa prestance, me quasi répendue sur un zinc, un soir ou manifestement ellel n'était meme pas l'ombre de l'ombre d'elle même. Mais il me fallait de toute façon aller au bout,encore plus loin, encore plus haut.
J'ai osé poser mon bras autour de ses épaules. sa poitrine à peine recouverte d'un top plus fin qu'un spectre de tissus frolait la mienne .Le vertige me gaganait. J'osai aller plus avant:

-J'ai des échantillons dans mon bureau... Ma voiture est tout prés....
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyMer 29 Déc - 0:01

Bon. Je commençais à avoisiner un taux d'alcool dangereux pour mes inhibitions, c'était clair. Quant à la limite légale, pfiouuuu – rien qu'en lui soufflant dessus, je la pulvérisais. C'était chouette de se saouler un bon coup : tout le monde autour de moi devenait flou et l'univers entier pouvait bien s'écrouler, j'en avais plus rien à cirer. Torben voulait plus de moi ? Hé baaaaah tant pis. J'irais lui défoncer sa porte à coups de hache et p'têtre je lui démonterais le portrait aussi, un peu. Juste pour lui montrer que c'était pas correc'du tout de coucher avec une fille puis d'essayer d'la tuer après. Ou alors je le laisserais tout seul crever dans son coin des maladies chopées sur les putes qu'il devait s'envoyer par wagons entiers pour oublier sa chérie. Sa précieuse petite femme... qu'est-ce qu'elle avait de plus que moi celle-là ? Bon OK. Elle était pure, et chaste, et décente, et blablabla. Mais c'était rien ça. Puis bon elle était quand même un peu morte et même d'ailleurs depuis le temps elle devait être toute pourrie dans le trou où son cadavre avait atterri, nan ? Alors que moi, bon j'étais p'têt dépravée et pas mal atteinte dans ma tête, mais je m'en rendais compte quand même. Puis surtout j'étais vivante. C'était quand même mieux pour s'envoyer en l'air, il y gagnait au change le Torben, franchement c'tait qu'un ingrat de première. Moi qui me sacrifiais, qui brûlais toutes mes belles résolutions, qui renonçais au Paradis pour lui, et lui bah il s'en foutait ! Soi-disant que j'étais une moins-que-rien, une catin à vampires. Bah tiens, et ta sœur, elle bat le beurre ? Ah nan. Sa sœur, elle aussi elle couchait avec des vampires, j'avais oublié. Bah il avait qu'à coucher avec sa sœur aussi, ça le changerait pas de d'habitude : pour sûr sa femme aussi elle avait couché avec des vampires et même que c'était pour ça qu'elle était mourue dans un trou. Voilà.

A ce stade de mes divagations éthyliques, je sentis le bras de Hugh sur mes épaules. Oh. Voui. Le gentil Hugh. Il avait bu dans mon verre mais j'étais d'humeur partageuse. D'ailleurs je prêtais mon verre mais s'il voulait bah p'têt je lui prêterais mon lit aussi. Y'avait la place dedans pour deux. Puis on se serrerait s'il fallait. Bureau ? Voiture ? De quoi il me causait, cet abruti ? Je voulais pas de bureau ou de voiture, moi. Je voulais boire jusqu'à m'écrouler et oublier jusqu'au nom de Torben qui m'avait complètement anéantie. J'étais faible à cause de lui, c'était entièrement sa faute, tout ça. (Thib, si tu passes par là... bar biturique [Livre 1 -Terminé] 134358) Il m'avait rendue faible. Une larve. Incapable de se lever le matin – Oh Dieu je pourrai jamais me lever demain – regard flou sur ma montre dont les aiguilles dansaient la samba, j'attrapai d'un geste approximatif le bras du barman pour déchiffrer à grand peine le cadran digital qu'il portait à son poignet – Oh Dieu je pourrai jamais me lever dans deux heures – non trois heures – non deux heures – oh puis bordel.

« Naaan j'rest'là. J'veux boire. »
Regard noir à Hugh. J'avais un peu le mal de mer sur mon tabouret sujet au roulis, et je tanguai quelque peu en me tournant vers le barman, pour claquer mon verre sur le comptoir, d'un geste tout aussi sonore que mal assuré.

« Encoooore. »
Pensée parasite vers Torben et sa femme en décomposition. Tangage de plus belle quand je me tournai vers gentil Hugh pour lui souffler mon haleine chargée au visage.

« Tu m'trouves beeeeelle Hu-hips-Hugh ? »
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyMer 29 Déc - 1:55

Manifestement, elle était faite, totalement faite, même. Serait -ce le jour faste de sa défaite, mon jour de fête? En fait je n'en savait rien car j' m'étais tant racconté sa vie telle que je la supposais, que de la voir là, si humblement répendue dans une sorte de mélancolie tragi comique alcoolisée me donnait presque l'impression de n'être pas avec Andrea Donwood, la fulgurante, la fantastique, mais juste avec une fille jolie et bien faite qui lui ressemblait un peu.. Mais sa voix, grave et profonde, même déformée par les vapeurs éthyliques, avait les accents totalement hypnotisants de ses dytirambes lorsqu'elle exortait dans quelque interwiew télévisée l'humanité à prendre conscience de la menace qui pesait sur elle... Si Bayard le pruexavait, non obstant l'anachronisme, rencontré Jeanne d'Arc complétement défoncée, l'aurait il dépucelée?
Evidement que non, mais Bayard serait mort sans jamais connaitre autre chose que la cotte de maille célèbre de l'égérie inspirée. Ce pauvre Bayard était fidélement bête et discipliné. Moi je me voulais être un explorateur de l'interdit, celui qui repousse les limites au delà du concevable... N'empêche que j'avais beau le vouloir, je restait stupide face à sa question pourtant simple...Evidemment que je la trouvais belle


-Vous...tu es magnifique, Andrea, vraiment...Une femme désirable, je... enfin, bref si j'osais ....

Et Merde, oui merde! Elle était là , préte à tout et n'importe quoi avec n'importe qui, et moi, tout ce que je trouvais à faire, c'était de bégayer comme un idiot de village. Je pouvais me rire de Bayard, tiens! L'Indiana Jones de la transgression crashé en plein vol pour n'avoir pas osé tenir son manche droit, comme tout homme le fairait en pareille occurence. Bien, il fallait me resaisir. redresser la situation, si tant est qu'il en fût encore temps. Evidement, la seule bonne option à présent était de tenter le tout pour le tout, de l'embrasser en espérant ne pas prendre une giffle. Ceci étant, aux vues de ses reflexes actuels, j'avais peu de chance que sa main atteigne la cible. Oui, j'allais gouter ses lévres qui me tentaient tant, peu importait ce qu'il aviendrait ensuite.
Je me suis approché et ,dans le fond vitreux de son regard, j'ai cru percevoir une sorte de douleur profonde ,intense et j'ai eu un nouveau reflexe désatreux

-Mademoiselle Donwood, si vous avez des ennui, vous pouvez compter sur moi. Je suis votre ami, vous savez...

Et re re re re Merde!!! Voila qu'à présent je me plaçais sur le terrain infructueux, sauf à trés trés long terme, éventuellement, du confident assexué. Si ce rôle était le favorit des homosexuales auprés des femmes, il m'enfermait dans une impasse avec Andrea.... Que pouvais-je espérer pour me sortir de là, si ce n'était que sur un malentendu, peut être...



Dernière édition par Hugh Tannen le Mer 29 Déc - 2:32, édité 1 fois (Raison : On ne le voit pas forcément mais la syntaxe et l'orthographe de ce texte ont été soignées)
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyJeu 6 Jan - 14:05

C'était chouette, de boire comme ça. Le lendemain, je ne garderais de cette soirée un peu bizarre un souvenir très brumeux de mes faits et gestes, mais les œillades entendues du barman à l'avenir me porteraient à soupçonner que je me serais quelque peu lâchée. Bien sûr ma tête me ferait souffrir atrocement et je souhaiterais que l'alcool n'ait jamais été inventé, avant de comater toute la journée au fond de mon lit pour sortir le soir venu et chasser. Je retrouverais peut-être la trace de Hugh pour le menacer des pires représailles s'il racontait à quiconque dans quel état je m'étais mise et ce que nous avions fait – pour autant que nous ayons effectivement fait quelque chose car mes souvenirs très flous se montreraient certainement très vagues sur le sujet. Peut-être que je le frapperais même un peu pour m'avoir encouragée à boire, même si pour le moment sa prodigalité me plaisait.

Hugh m'avait toujours profondément agacée. Ce profiteur qui se faisait de l'argent grâce à sa clientèle de vampires, il m'horripilait – d'autant plus que ses avances plutôt lourdes en temps normal avaient tendance à me donner envie de lui cogner dessus jusqu'à ce qu'il comprenne le message. Néanmoins, ce soir, mon habituel et immuable « pas intéressée même si tu étais le dernier homme de la Création » avait évolué vers un « éventuellement si je suis totalement bourrée avant le lever du jour », et passait actuellement au stade « continue à me faire de l'œil comme ça et je te viole sur le comptoir ». Le barman ne perdait visiblement pas une miette de mes divagations éthyliques et son sourire amusé en me resservant à boire valait tout un poème. Bien sûr, je n'étais pas en état de m'en rendre compte et je me demanderais toute ma vie ce que j'avais bien pu faire dans ce bar pour qu'il m'adresse un tel regard de connivence à l'avenir, mais bon. Hugh se montrait ce soir d'une charmante compagnie, et j'aimais bien sa présence. Certes, j'étais beurrée comme un petit Lu, complètement faite et même ronde comme une queue de pelle, mais j'en avais bien besoin. Mon nouvel ami me proposa son aide. Ooooh. Il était gentil. Voui. Très gentil, et même finalement je l'aimais bien, ce boulet qui me tapait sur le système quand j'étais sobre.

« Vouiii Hugh t'es gentil. Un vrai ami. J't'aime bien. Maintenant, tu fais câlin. Tout d'suite. »

J'étais complètement bourrée, ouais. Mais très contente de l'être. Je continuai à basculer en avant jusqu'à pouvoir passer les bras autour de lui, avec les gestes mal assurés de ceux dont l'ivresse brouille la perception. Lorsque je fus à peu près sûre de l'avoir convenablement enlacé, je resserrai ma prise, plaquai un bisou humide sur sa joue après avoir pris une bonne dizaine de secondes pour bien viser, puis posai le menton sur son épaule. J'avais besoin de m'enivrer et j'avais aussi besoin d'être un peu câlinée. Même si je rêvais des bras de Torben, ceux de Hugh feraient bien l'affaire. Il y avait un fond de vénération dans la manière avec laquelle il me traitait et mine de rien, cette adoration discrète était terriblement flatteuse. J'avais un peu l'impression d'être devenue un genre de déesse et Hugh était... oui, il était mignon, très mignon même, quand il perdait ses moyens devant moi. Même bien cuite, j'en avais conscience, et j'étais bien décidée à profiter de son humeur accommodante pour combler mon manque de câlins.
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyDim 9 Jan - 0:53

Elle avait cert manqué de m'eborgner en voulant lancer ses bras vers moi,mais elle m'nelaçait à présent, soufalnt une haliene chargée de vapeus d'alcool dans mon cou,la joue contre la miene, en équilibre des plsu precaires sur un tabouret n'étant plus en contact avec le sol que par deux de ses pieds. Tous solide en équilbre instable tendant à trouver une position plus assurée,il se produisit ce qui ne pouvait manquer d'advenir. Le siege chû et Andrea échoua sur mes genoux, aidée par la main providentielle que seule un acte reflex m'autorisa a poser sur ses reins divins et vénérés! Andrea Donwood était là ,à cet instent, pendue à mon cou...et à qualifourchon sur moi. J'étais litteralement bouleversé. Il était surprenant de constater que plus j'approchais de la realisation de mon fantsme, moins je me sentais en mesure de lassumer. Son contact me brulait. sa peau si proche et douce me rendait fou de désir mais le fait de savoir que cet epiderme tendre etit celui de mon idole me paralysait. J'vais peine a mêm realiser que j'avais osé l'assoire sur moi. Je ne regrettais pas cette impulsion en un sens, car le contact avec son coprs avachi par la langueur de l'alcool restait des plus agreable. Mis pareile opportunité ne se reproduirait sans doute hélas jamais,Prenat mon courage et ses joues a deux mains, je tentai de ploger mon regard dans ses yeux glauques. sa bouche entrouverte sourait avec d'avantage encore de mystere quand aux raisons que son esprit enivré pouvait trouver a s'amuser que mona lisa elle même.

Andrea, je...vous;..tu...

Manifestement il m'était impossible de lui parler ave la moindre trace d'intelligence,aussi bravant tous les interdits, et fort d'une insensée temerité car compte tenu de son état d'hébriéte il etait fort à redouter que ma divine compagnie ait un renvoi intempestif au moment fatidique, je plaquai mes levres avides mais bloquée par une retenue imbécile sur les siennes
. J'aspirais le souffle de ma divinité, précautioneusement.pris du vertige enivrant de franchir une sorte de tabou mystique. J'étais incapalbe de déterminer quelle était la part d'ivresse procurée par ses levres et celle procurée par son haleine dangeureusement avinée, mais en tout état de cause, j'étais grisé
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyMar 25 Jan - 19:22

J'étais bien. Ce brave petit Hugh était très fort en câlins et je profitais de l'instant, dans ce brouillard vague induit par l'ivresse, sans plus me préoccuper de ce qui pouvait bien se passer autour. J'en aurais presque ronronné si j'avais été physiquement capable de le faire sans risquer de renvoi non désiré de ce qui cuvait dans mon estomac. Avec tout l'alcool que je m'étais enfilé, l'ivresse me guettait tout aussi sûrement que la gueule de bois du lendemain. Mon siège était peu stable, cependant – je basculai doucement jusqu'à me retrouver je ne sus trop comment sur les genoux de Hughichou ♥ . Sa main sur mes reins y avait sans doute contribué, mais en fait je m'en fichais un peu. C'était bien plus confortable comme ça et il avait eu bien raison, ce brave petit.

Et il m'embrassa. Geste inattendu mais ô combien apprécié de la fille totalement bourrée et en manque d'affection que j'étais. Ravie, je m'accrochai à ses épaules de plus belle et répondis à son baiser avec un bel enthousiasme. Ça aurait pu durer longtemps si une petite sonnette d'alarme n'avait retenti dans mon esprit embrouillé. Il me fallut quelques secondes pour discerner les mots « Hugh » et « jamais » clignotant furieusement à la limite de ma conscience. Ooooh... C'était pas drôle. Il embrassait bien en plus, ce sacré phénomène, et je n'avais aucune envie de mettre fin à cette séance de ventousage énergique. Mais bon... Les principes étaient primordiaux à toute société évoluée et je me devais de respecter les miens, hein ? J'interrompis donc mon léchage consciencieux de ses amygdales pour me reculer légèrement, et lui balancer une baffe phénoménale.

Bien sûr, j'étais à califourchon sur ses genoux. Bien sûr, il était perché sur un tabouret de bar. Bien sûr, le siège était par nature plutôt instable. Et forcément, confronté au poids de deux corps dont l'un ne maîtrisait plus trop ses mouvements... le traître siège choisit la solution de la facilité et bascula honteusement, nous précipitant par terre pêle-mêle. J'atterris en petit tas, totalement étourdie et sans la moindre idée de comment j'étais arrivée là. Ma vision se dédoublait traîtreusement et je ne compris pas pourquoi je contemplais d'un coup un assortiment de chaussures. Et où était passé Hughichou ?
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MessageSujet: Re: bar biturique [Livre 1 -Terminé]   bar biturique [Livre 1 -Terminé] EmptyVen 28 Jan - 22:10

Lorsqu' aprés un fougueux et langoureux baiser Andréa recula un peu, je crains qu'elel n'ait finalement regretté son abandon éthylique à mes levres exaltées. mis la flame ardente que je decelai, d'un coup d'oeil rapide, presque volé, au fond de ses prunelles ne pouvait me tromper. C'était assurément le regard enfievré d'une femme passionnée. J'aurais sourit aux anges si j'avais été plus naif. Je me contentai d'embrasser le destain qui s'il avait l'arriére gout de gignolet de ses lévres cerises, convenit fort agréablement à mes désirs en matiére d'ivrsee. Confiant et bienheureux, mon orgueil de mâle on ne pouvait plus renforcé par la reconnaissance de cette femme sublime et l'acceptation du partage fabuleux auquel elle condescendait, J'osai à présent sans apprehension aucune, attendre qu'elle revienne vers ma bouche ac vide de la sienne, mais cette fois les yeux dans les yeux, afin que le triomphe de ma cour assidue soit plein et entier D'un décrochement gracile de l'épaule elle jeta son bras en arréire ,nous faisant dangeureusement vasciller,afin ,assurément de mieux prendre son élan pour que notre enlassement y gagne en intensité. J'aimais les carractére passionné de cette fantastique femme.
J'ai reçu la claque sans même avoir eu le temps d'assimiler ce qui se produisait, tant ,sous mes paupiéres mi closes, j'étais occupé à anticiper le feu de ses levres dévorant les miennes. Ma joue était en feu,ecependant, et je ne copris pas comment totu bascula. La violence du chox, une subite perte de conscience. une poussée d'adrenaline du à l'emotion trop intense. En totu état de cause, je me trouvais à présent cloué au sol avec Andréa hagarde, quasi dépoitrailée, la méche en bataille, en train de ramper avec une lascivité animale sur moi. Un femem dure, excessive, sans compromis. Une héroine aussi puissante que la mecaline, aussi intransigeante que ma satanée maitresse,aussi blonde que ma femem chérie. Andréa Donwood, à dec instent, etait mon tout, mon univers entierJe ne resistai pas à l'envie de plaquer sur son arrogant fessier mes mains avides de sens, afin de mieux ressentir, sous le fin tissus qui les recouvrainet, les mouvements de ses muscles qui agitaient ses jambes en lascives arav besques sur le plancher. Je me moquait des gens, des regards, des commérages eventuels. Je me moquait du monde entier. Cette femme au charisme irresistible, je la voulais, là maintenant, quel que fut le prix à payer...
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