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–› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]
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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyDim 16 Mar - 2:12





Paul
Charlie


Sometimes you can't make it on your own



Charlie marquait un point, peu de vampires se seraient pointé au beau milieu de la journée comme elle l’avait fait. Mais il ne pouvait certainement pas lui dire qu'il pouvait reconnaître une louve à sa façon de se mettre en colère sans soulever des questions auxquelles il ne voulait pas répondre. Quand l'invitation que la belle lançait à la provoquer pour subir toute la sauvagerie dont elle pourrait faire preuve, il rangeait l'idée précieusement dans un coin de son esprit. Même s'il ne voulait pas prendre le risque de faire avorter leur business naissant en laissant ses pulsions prendre le dessus, l'américain savait qu'il ne renoncerait jamais vraiment à l'idée de se rendre compte par lui même de ce dont une louve état capable quand il s'agissait de laisser l'instinct prendre le dessus.

Après qu'ils aient exposés leurs point de vue et idées respectives, celles de la jolie brune surtout, elle avait finit par le ramener sur le sofa. Immobile. Sans doute cela l’énervait de le voir s'agiter comme il le faisait. Notre homme ne pouvait s’empêcher de ricaner intérieurement à cette pensée, soit elle arrivait à se faire une raison à ce propos, soit il la rendrait folle, car il ne changerait pas cette facette de sa personnalité. Pas même si elle finissait par lui en donner l'ordre un jour. L'ordre. Même si elle prétendait que ce n'en était pas, sa manière de présenter son projet montrait clairement qu'elle allait gérer les choses à sa façon. Madame. C'était tellement amusant de la taquiner de la sorte. Immature, c'était tout ce qu'il était et il souhaitait qu'elle s'en rende compte rapidement. Quand il savait qu'il ne risquait pas de mettre ses petites affaires en danger, il était capable d'être plus horripilant qu'un gosse de cinq ans a qui on aurait jamais appris le sens du mot non.

« Le plus tôt sera le mieux, d’ailleurs si tu as besoin de liquidité pour régler tout ça tu n’auras qu’à me le dire. Avant qu’on est le temps de faire tout ce qu’on a à faire les travaux seront finis. »

Le mécano avait bel et bien de quoi commencer les travaux mais puisqu'il avait réussit à négocier des bénéfices égaux avec la belle, il comptait bien partager les frais aussi. Avare certes,mais trop orgueilleux pour la laisser gérer ça toute seule. Peut être était-ce justement ce sur quoi elle comptait pour ne pas avoir à tout payer de sa poche mais quand bien même.... Dans un énième sourire, il s'était redressé vers elle pour le lui signaler.

« Mes locaux, ton idée... on pourrait y mettre chacun un peu du notre tu crois pas ? »

Puis il avait attendu qu'elle lui tende la bouteille, remettant ouvertement ses projets de déguster à nouveau du sel sur la peau de la brunette à plus tard sans pour autant renoncer à vider la bouteille avant la fin de leur petite réunion. Contre toute attente, Charlie ne semblait pas avoir l'intention d'attendre le prochain meeting pour ça. Elle s'était de nouveau assise sur lui, empoignant une touffe de cheveux de notre américain pour lui bloquer la tête le temps de lui voler un baiser. Voler ? Non, si l'effet de surprise l'avait immobilisé l'espace d'une fraction de seconde, il ne s'était pas fait prier pour lui rendre le baiser. Tandis qu'elle marquait sa peau du bout des ongles, la belle tirait à présent sur ses lèvres, les mordillant à l'envie. Et après elle allait oser dire qu'il était incapable de garder le contrôle ?

« Oublions le sel pour cette fois-ci si tu veux. » 

Elle savait parfaitement ce qu'elle faisait. Chacun de ses mouvements donnait à notre homme l'impression d'être méticuleusement calculé. Une main posée sur les hanches de la jeune femme, l'autre jouant dans ses cheveux tout en s'assurant qu'elle le se défilerait pas à nouveau, il l'embrassa à nouveau. Il remonta sa main le long de son flanc jusqu'à la dentelle rose pour tenter de s'en débarrasser. Tentant. Tentant de tricher un peu pour accélérer les choses, mais il ne voulait surtout pas gâcher la plus belle carte de son jeu. Descendant l'autre main pour s'aider à détacher l’agrafe, il entreprit d'embrasser en mordillant l'épaule qu'il avait déjà goûtée plus tôt. Quand il eu enfin réussit à vaincre l'attache, il releva le bras victorieux tout en interrompant ses baisers.

« Je hais ces choses.... »

Mensonge. Il haïssait juste le fait de ne pas avoir put simplement le faire couler comme un épais liquide le long de sa peau plutôt que de devoir forcer sur l'ouverture comme il l'avait fait. Contemplant le ravissant spectacle qu'il avait sous les yeux l'américain ne put s’empêcher de continuer à commenter.

« Moi qui pensais ne jamais réussir à te convaincre de te laisser aller.... une louve.... qui l'aurait cru... promets moi juste de ne pas me dévorer une fois que tu seras satisfaite.»

Satisfaite? L'orgueil, toujours. Comme il affichait un rictus amusé, ravi de sa plaisanterie ridicule, ses mains s'attaquaient à présent au bouton du jean de Charlie et il avait complètement oublié ses belles résolutions de ne pas mettre en péril ses projets de marché noir florissant à cause d'une pulsion mal refrénée. Avare, oui, mais il ne pourrait plus retenir l'envie très longtemps et il valait mieux faire les choses sainement maintenant que de risquer de perdre le contrôle dans dix minutes. Si il ne doutait pas de pouvoir se débarrasser d'elle si la situation l'exigeait, il était hors de question de le faire avant que tout soit en place. Et puis qui sait... peut être qu'elle ne lui donnerait jamais de bonnes raisons pour mettre fin à leur... partenariat...





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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyDim 16 Mar - 16:26




Paul & Charlie


Ils semblaient sur la même longueur d’onde en ce qui concernait leur arrangement. Toutefois lorsqu’il fut question d’argent il lui fit remarquer qu’ils n’avaient qu’à partager les frais puis-ce qu’après tout elle venait de lui dire que c’était 50/50 pour les bénéfices. Elle aurait pu lui dire oui, elle avait suffisamment d’argent en stock pour régler le problème dans sa globalité mais elle avait des principes et elle se contenta de lui sourire.

« Je te sors de ton quotidien pourri, je nous apporte des clients pour lancer notre projet… Débrouilles toi pour les frais. Je te propose de m’occuper de la déco si tu veux c’est la seule chose que je te céderai sur le sujet. » dit-elle en haussant les sourcils en observant l’appartement qui manquait de vie.

S’ils voulaient vraiment que la planque ressemble à un vrai garage de tuning autant jouer cette carte à fond. Céder à ses caprices serait perdre un peu de terrain, elle lui avait peut-être dit qu’ils étaient sur le même pied d’égalité elle avait quand même envie de garder une prise sur lui. Ne serait-ce que pour éviter qu’il ne se lâche un peu trop dans un délire obscure que lui seul pouvait comprendre.

Le contrôle était une chose plutôt aléatoire chez Charlie. Elle était louve et le contrôle était une chose compliquée à obtenir quand les instincts bestiaux vous prenez par les tripes. Et lorsqu’elle grimpa sur ses genoux elle laissait libre court à ses envies les plus primaires. Chaque geste était une excuse pour s’être écartée de lui mais son geste était justifié, ils avaient eu besoin d’avoir cette conversation avant que les choses n’aillent plus loin entre eux. Bien entendu il n’était pas question que ce qui se passe se renouvelle. Elle ferait le nécessaire pour ne pas avoir à céder à cette tentation.

Elle le sentit peiner grandement avec les agrafes du soutien-gorge. Il n’allait quand même pas lui dire qu’il n’avait pas l’habitude de ce genre de choses. Elle était sur le point de lui en faire la remarque lorsqu’il s’arracha à leur baiser pour exprimer sa victoire face à la pièce de vêtement.

« Tu semblais pourtant l’apprécier il y a quelques minutes. » murmura-t-elle en lui rappelant tous ses petits regards vers sa poitrine alors qu’elle l’avait repoussé pour parler affaire.

Elle n’était pas mécontente de la tournure que les choses prenaient à présent. Il faudrait qu’elle réussisse à le faire tenir en place le temps qu’ils se mettent d’accord sur d’autres détails mais pour le moment ils avaient le plus gros de l’idée sur les rails, le petit interlude à venir ne retarderait rien. Elle se pressa contre lui alors qu’il trouvait étrange qu’elle soit si vite revenue sur sa décision.

« Tu sous-estimes aussi, chéri. Hmm… Satisfait-moi et j’aviserai après… » dit-elle avec un sourire malicieux.

Le voyant lutter pour ouvrir le bouton de son jean elle eut pitié de lui et s’arracha à ses mains pour se mettre debout. Elle l’attrapa par la main pour l’attirer contre elle. Elle l’embrassa à nouveau tout en l’entraînant doucement en direction de ce qui semblait être la chambre. Au moins elle n’avait pas le problème de devoir ouvrir les portes pour vérifier, il n’y en avait aucune. Lorsqu’elle atteignit la chambre à coucher elle avait réussi à déboutonner le jean de Paul et le fit basculer sur le lit avant de se débarrasser elle-même de son jean avant de le rejoindre.




La suite des évènements n’est connue d’eux uniquement mais lorsque la louve sortit de la chambre drapée dans le drap alors qu’elle récupérait chaque vêtement qu’elle avait abandonné précédemment. Près du canapé elle retrouva son soutien-gorge et son débardeur, une fois qu’elle les avait récupérés elle repassa par la chambre où elle retrouva Paul. Elle lui balança le drap avant de filer prendre une douche. Elle n’était pas particulièrement pressée de partir mais la douche post-coït était une étape à laquelle elle tenait, elle n’appréciait pas particulièrement baigner dans sa sueur après tant d’efforts.

« Ce serait dommage de te dévorer finalement. » dit-elle en l’observant avec un sourire alors qu’elle se savonnait.

L’appartement de Paul était étrangement agencé il n’y avait aucune porte et de la chambre il pouvait aisément espionner les moindres faits et gestes que ce soit dans le salon ou dans la salle de bain. A croire qu’il avait soit besoin de pouvoir poser les yeux sur tout ce qui se passait dans l’appartement soit il avait peur de se retrouver dans un espace clos. Qu’importe si le spectacle qu’elle lui offrait lui plaisait tant mieux pour lui. Elle faisait en sorte qu’il puisse se rincer l’œil comme il l’entendait. Après tout elle lui devait bien ça.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyDim 16 Mar - 19:33





Paul
Charlie


Sometimes you can't make it on your own



Rose, le bout de dentelle qu'il faisait mine de ne pas réussir à enlever. Envoûtante, la femme assise sur ses genoux. Dévorante, l'envie qui le brûlait de la retourner là sur le sofa et de laisser parler ses pulsions. Il s’étonnait lui même d'arriver à se maîtriser de la sorte mais mettait ça tant sur le compte de tout ce qu'il avait à perdre s'il la faisait fuir ou pire, que sur l'aura de la louve dont il voulait connaître tout le potentiel. Comme il finissait par venir à bout du morceau de tissu, et s'en ventait bêtement, affirmant même ne pas supporte de genre d’accessoires, elle le rabrouait judicieusement. Non il ne pouvait pas nier avoir apprécié le spectacle qu'elle lui avait offert mais il préférait ce qu'il avait sous les yeux à présent. L'américain s’étonnait encore du revirement soudain de situation, n'était-elle pas celle s'était défilée quelques instant plus tôt ? Bien sur il savait que c'était à fin de le garder en éveil pour mieux aborder le sujet principal qui l'avait amenée ici, mais il avait bien cru avoir loupé sa chance. Une louve. Il avait l’occasion de se laisser aller dans les bras d'une louve. Ses pensées partaient dans tous les sens. Peser le pour et le contre. Savourer l'instant. S’inquiéter de ce qui pourrait suivre. Profiter de sa chance. Comme toujours, il n'écoutait pas la petite voix qui aurait pu le mettre en garde. Le belle confirmait qu'elle ne lui résisterait pas longtemps tout en laissant planer le doute sur la suite des événements. Délicieuse. Comme si elle pouvait le dévorer quand bien même l'envie lui en prenait... Garder sa carte maîtresse pour plus tard....

Charlie prenait à nouveau les devant, quittant ses genoux pour mieux le forcer à se lever ensuite. Notre mécano se délectait du baiser qu'elle lui offrait tout en la laissant guider les choses, quitte à avoir un animal sauvage dans les bras, autant le laisser s'exprimer. Elle ne mit pas longtemps à l’entraîner vers le lit, le trajet était simple à faire, la chambre n'était que le prolongement du salon. Son jean ? Elle le fit tomber au sol avant qu'ils n'aient atteint le lit. Lui ? Elle l'y poussa sans scrupules et il se laissa faire en se mâchouillant la lèvre.

« Tout à toi, comme promis... »

Nue, elle le rejoint sur les draps pour enfin laisser parler la louve.

_________________________________________


Une légère douleur, comme une brûlure sur sa peau, au moment où il se retournait et où son dos frottait les draps. Elle n'avait pas encore tenté de le dévorer mais ses ongles avaient laissés des marques. Qu'avait-elle dit ? Quitte à devoir ruiner une manucure.... Le rapprochement des deux idées lui tira un large sourire amusé. Il la regardait rassembler ses affaires semées entre le canapé et le lit, sans un mot, puis lui envoyer le drap dans laquelle elle s’était enroulée.

« hey... »

La jolie brune l'ignorait totalement et prenait le chemin de la baignoire. Profitant de la vue qu'elle lui offrait, il s'allongea face à la salle de bain, appuyant sa tête dans ses mains, il ne comptait pas perdre une miette du spectacle. L'agencement de l'appartement était prévu pour ça, il aimait l'idée de profiter de ses conquêtes durant chaque petite seconde qu'elles passeraient chez lui. Charlie était déjà sous l'eau quand elle lui adressa enfin la parole.

« Ce serait dommage de te dévorer finalement. » 

Paul affichait à présent un rictus satisfait. S'il n'avait aucun doute sur ce dont il était capable, il savourait à présent l'idée d'avoir put satisfaire l’appétit débordant d'une fille de la lune. En se donnant de grands airs, il se leva doucement pour la rejoindre. Maintenant qu'ils avaient tous deux assouvi leurs instincts, il fallait éclaircir certaines choses. Se délectant de chacun de ses gestes, il laissait courir son regard sur la peau savonneuse qu'elle offrait à quelques centimètres de ses doigts.

« En même temps, tu as encore besoin de moi.... ou bien toutes ces belles histoires n'étaient que de la poudre aux yeux pour mieux me traîner sous les draps ? »

Si sa question laissait sous entendre qu'il n'avait pas perdu de vue ce dont ils avaient parlé, ses mains en revanche semblaient ne pas vouloir que la conversation sérieuse reprenne. Sans la toucher, il mimait ses contours, la frôlant presque. A nouveau, il lui servait les yeux de chiots. Non vraiment il lui était incapable de se concentrer sur les sujets important tant qu'elle restait nue sous ses yeux. Avant qu'elle ne puisse répondre à sa question, il en avait déjà posé une autre ;

« Si tu renonces à faire de moi ton quatre heure, j'en déduit que je suis un jouet suffisamment intéressant pour mériter que tu t'y intéresses à nouveau un jour …. »

Cette fois, ses doigts effleuraient ses hanches et il se demandait à laquelle des deux questions, auquel de ses vices, elle allait donner une réponse.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyDim 16 Mar - 21:01




Paul & Charlie


Charlie s’était complètement abandonnée à Paul pour assouvir ses instincts les plus primaires. Elle eut un sourire en remarquant qu’elle avait un peu de sang sous les ongles. Lui il allait mettre du temps à cicatriser et la prochaine saurait qu’elle était passée par là. C’était gamin de se comporter de la sorte mais c’était tellement marrant d’imaginer la tête de la suivante qui verrait ses griffures. Elle le gratifia d’un grand sourire lorsqu’elle l’entendit protester alors qu’elle venait de lui balancer le drap en pleine figure.

Du coin de l’œil elle le vit la rejoindre sous la douche avec une petite mine satisfaite. Si chacun était content c’était l’essentiel. Mais elle devait absolument s’ancrer dans la tête que cet écart était le premier et le dernier. Elle ne devait absolument pas mélanger le business et sexe sinon elle courrait à sa perte. Ce n’était pas pour rien si dans la plupart des travails on évitait à tout prix ce genre de relations ambiguës. Certes ils ne faisaient pas un job commun mais elle devrait s’acharner à imposer le respect et ce n’est pas en lui ouvrant les cuisses à tout bout de champs qu’elle allait y arriver.

Elle haussa un sourcil alors qu’il lui demandait ce dont elle avait vraiment besoin en ce qui le concernait. De la poudre aux yeux ? Elle ne put réprimer un rire à l’idée qu’elle serait vraiment allée loin juste pour l’entraîner dans sa chambre. Elle sentit ses doigts la frôler, son corps en frissonna en souvenir de ce qui venait juste de se finir. Elle se rapprocha de lui pour qu’il ait sous les yeux l’intégralité de sa féminité au cas où il aurait pu oublier.

« Franchement, si j’étais venue ici avec juste dans l’idée de finir nue avec toi. J’aurais vraiment eu besoin de faire tout ça ? Tu apprendras que quand je dis quelque chose je suis sérieuse jusqu’au bout. »

Elle planta son regard sévère dans le sien pour qu’il comprenne qu’elle ne plaisantait pas. Après tout il risquait peut-être la prison mais elle pouvait avoir des ennuis cent fois pires. Si Mike le savait il l’écorcherait vive et l’enfermerait pour être sûre qu’elle ne fasse pas de conneries de ce genre, si c’était la meute elle pourrait au mieux espérer finir enfermée et si c’était son père il la tuerait pour avoir voulu le doubler. Elle préfèrerait finir entre les mains de la police humaine son sort serait plus enviable.

« Hm… Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée. » dit-elle en s’accrochant à son cou pour se rapprocher de lui alors qu’il effleurait ses hanches.

Son corps contredisait ses propos mais elle devait admettre qu’il était un bon amant et qu’elle rêvait de goûter à nouveau au plaisir qu’il lui avait offert. Mais le plus important n’était pas là pour le moment elle se remémorait ce qu’ils avaient laissé en suspens avant de s’accorder cette petite récréation. Ils ne s’étaient pas mis d’accord sur la question de qui paierait les travaux pour réaménager le garage.

« Au fait tu n’as rien dit sur le financement des travaux. J’aimerai qu’on soit d’accord sur le sujet. » dit-elle en s’éloignant de lui pour se rincer avant de sortir de la baignoire.

Elle attrapa la première serviette qui lui passait sous la main et entreprit de sécher l’intégralité de son corps. C’était donc le deuxième round qui commençait et elle devrait s’efforcer d’oublier ses compétences d’amant pour ne pas lui céder trop de choses. Elle se retourna vers lui afin d’admirer sans se cacher son corps nu comme un ver. Elle devait se rentrer dans la tête qu’elle n’y aurait plus jamais accès, elle devait vraiment se faire violence pour envisager la chose comme une éventualité alors qu’elle aurait dû en être intégralement convaincue. Parce qu’elle avait beau lui avoir dit qu’elle ne voulait pas que ça se reproduise elle n’y avait mis aucune volonté et le peu qu’elle connaissait de lui personnellement lui laissait présager des avances régulières.

Elle soupira avant d’enfiler ses sous-vêtements en réfléchissant à ce qu’elle avait bien pu oublier. Pour le moment rien ne lui venait à l’esprit mais il fallait avouer que le spectacle qui s’offrait à elle avait le don de lui faire perdre le fil de ses pensées.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyLun 17 Mar - 11:20





Paul
Charlie


Sometimes you can't make it on your own



C'était de nouveau le même dilemme. N'arriverait-il donc jamais à canaliser son esprit sur quelque chose sans le laisser vagabonder d'une idée à une autre ? Déjà note américain recommençait à lui parler tantôt de leur petit accord tantôt de remettre le couvert sous les draps. Il fallait bien avouer qu'ils venaient de prendre du bon temps et pour une première il était forcé de reconnaître que la louve lui avait fait grande impression. La belle semblait hésiter autant que lui il Paul savait qu'il n'allait pas être aisé pour l'un comme pour l'autre de faire un choix quand à la suite des événements.

« Franchement, si j’étais venue ici avec juste dans l’idée de finir nue avec toi. J’aurais vraiment eu besoin de faire tout ça ? Tu apprendras que quand je dis quelque chose je suis sérieuse jusqu’au bout. »

Sérieuse. C'était encore une qualité qui appréciait puisque lui en était incapable, il valait mieux que son associée fasse preuve d'un peu de sérieux. Le mécano en avait eu plusieurs exemples depuis qu'elle avait passé la porte du garage et ça faisait partit des raison pour lesquelles il se sentait prêt à lui faire confiance. Elle répondit également à la seconde question, mais cette fois il regrettait quelque peu le sérieux qu'il venait d'encenser mentalement.

« Hm… Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée. »

Laissant tomber sa tête en avant, dépité, il interrompit ses caresses en s'immobilisant. La brunette avait raison bien sur mais il ne pouvait s’empêcher d'être un peu déçu. Déterminée. Elle l'avait déjà montré mais il gardait son idée en tête, il aurait bien des occasions de la faire céder à nouveau. Et si un jeu du chat et de la souris devait s'installer entre eux, tout ceci n'en serait que plus grisant. Leur petit accord. Elle embrayait sur le sujet en sortant de la douche tout en restant à bonne distance de lui.

« Au fait tu n’as rien dit sur le financement des travaux. J’aimerai qu’on soit d’accord sur le sujet. » 

Comme pour lui montrer qu'il avait comprit le message et qu'il était prêt à essayer d'être un tant soit peu concentré, il était revenu s'asseoir sur le bord du lit pendant qu'elle se séchait. Il ne lâchait pas le sublime corps des yeux mais peut être serait il moins tenté de lui sauter dessus. Laissant échapper un soupire le mécano répondit la seule chose logique qui arrivait à traverser le bordel instable qui régnait dans son esprit.

« T'en fait pas la belle, y a pas tant de travaux que ça à faire, je m'occupe de tout. »

Certes il était persuadé qu'à un moment elle avait proposé de lui accorder quelques...liquidités pour l’aménagement du Winged Motors, mais elle venait de lui offrir une des plus belles parties de jambes en l'air qu'il ait connu à la place. Pour Paul c'était bien suffisant. Ce n’était certes pas très professionnel comme attitude mais s'il se considérait toujours comme le meilleur dans beaucoup de domaines, personne n'avait jamais dit qu'il fut professionnel ou même un tant soit peu sérieux. Il avait ses méthodes, ses techniques, avec ou sans utiliser son don, et il n'avait pas besoin de se forcer à changer toute sa personnalité pour arriver à faire ce qu'il faisait. L'américain était bien trop sur de lui pour ressentir le besoin de modifier son approche. Sur de lui au point de tenter un coup de poker supplémentaire. Une idée saugrenue venait de germer dans ses pensées, la belle avait prévu sa couverture à lui, la transformation du Winged, mais elle, comment allait-elle justifier ses bénéfices ? Charlie avait bien évoqué l'idée d'une société écran quelque part mais serait-ce suffisant ? Cela lui laissait une belle ouverture pour tenter de mêler le délicieux moment qu'il venaient de passer et leur partenariat. Se laissant tomber innocemment en arrière sur le lit, il fit mine de réfléchir un instant avant de demander d'une voix faussement douteuse ;

« Dis moi... tu as pensé à ce que diront les tiens si tu peux soudainement t'offrir bien plus que e que ton salaire habituel pourrait te permettre ? »

Il jouait du bout des doigts avec le draps sous lui d'un air distrait. Prendre l'air le plus détaché possible pour mieux la convaincre que l'idée était venue sans arrières pensées.

« Tu vas devoir passer pas mal de temps ici aussi j’imagine, au garage du moins... enfin dans le bureau quoi. Alors on semble être d'accord sur le fait que ce qui vient de se passer était.... »redressant la tête pour plonger un regard malicieux dans celui de la belle asiatique, il lui offrit un nouveau clin d’œil avant de reprendre « ...la plus agréable de toutes les conneries que j'ai put faire. Il n’empêche que si tu dois passer ton temps au Winged et justifier tes dépenses, il serait judicieux de laisser croire que toi et moi.... on prend suffisamment de bon temps pour que j'ai envie de te faire de jolis cadeaux aux frais de mon business florissant. »

Il avait fait tout son possible pour garder le ton le plus détaché et innocent possible, mais il n'y avait assurément rien d'innocent là dedans. Le mécano s'assurait de la garder le plus prés possible de lui. La surveiller tout d'abord pour s'assurer du bon déroulement de leur affaire, puis qui sait, peu être se prendrait elle au jeu et la louve finirait-elle par revenir sur ses bonnes résolutions.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyLun 17 Mar - 14:58




Paul & Charlie


Maintenant qu’elle était débarrassée de cette envie pressante de lui sauter dessus pour satisfaire ses besoins purement égoïstes, bien qu’il semblait avoir appréciait être utilisé pour ça, elle pouvait se concentrer pleinement sur ce qu’elle avait à faire pour le restant de sa journée. Elle nota son expression de dépit lorsqu’elle lui annonça clairement que remettre le couvert n’était pas une bonne idée pour ce qu’ils avaient à faire. Elle essayait de s’en convaincre par la même occasion et il ne l’aidait en rien à affirmer son choix.

Ils semblaient d’accord sur ce point même si elle était prête à mettre sa main à couper que ça ne l’empêcherait en rien de recommencer son petit numéro. Elle pouvait le repousser cette fois-ci mais uniquement parce qu’elle avait eu l’occasion de satisfaire ses envies avec lui juste avant. Et encore elle devait lutter pour faire taire la louve qui ne souhaitait qu’une chose : remettre ça s’il était si consentant. Elle gifla sa conscience qui approuvait ce choix, il n’y avait que la raison qui pouvait comprendre ses décisions. Elle était en train de se rhabiller lorsqu’il lui affirma qu’il s’occupait de tout pour ce qui était du paiement des travaux.

*Il peut bien te l’accorder, tu lui as vendu ton corps pour un garage…*

Elle chassa l’idée qu’elle se servait de son corps comme d’un moyen de négocier. C’était pas du tout ça, elle lui avait donné de bons arguments pour qu’elle n’engage pas un sous dans ces travaux. Ça n’avait rien à voir. Elle ne parvint même pas à se convaincre elle-même. Elle ne dit pas un mot sur cette soudaine générosité, elle avait peur d’entendre la réponse qu’elle ne souhaitait pas entendre et de devoir revoir tout son plan parce qu’elle était incapable de rester insensible au charme d’un type bien foutu. Alors même qu’elle songeait à ça elle l’entendait commencer à parler et releva la tête vers lui.

Elle du se mordre violemment la chair de la joue pour ne pas baver alors qu’il était là posé sur son lit, intégralement nu. Elle fut frappée par ce qu’il lui demanda. Elle n’avait même pas pensé à ça. Certes elle avait pu justifier certains achats comme sa voiture par la vente de tableaux mais elle n’était pas une artiste mondiale ou un truc du genre qui lui permette de justifier l’achat d’une dizaine de paires de pompes à £600 la paire. Elle se laissa tomber sur le lit à côté de Paul, la tête dans le drap pour essayer de réfléchir à cette idée. Elle ne pouvait pas feinter la notoriété et elle n’avait pas le temps de vraiment la gagner.

Elle se redressa sur les avants bras lorsqu’il enchaina en lui faisant remarquer qu’elle allait faire des allers-retours dans cet endroit. Où voulait-il en venir ? Elle fronça les sourcils en essayant de suivre le cheminement de sa logique. Elle ignora son regard malicieux quand il lui affirma que c’était la plus agréable de ses conneries. Elle saurait le lui rappeler même si elle devait avouer que c’était pas mal non plus en ce qui le concernait. Il était en train de lui dire qu’elle n’avait qu’à faire croire au monde entier qu’elle sortait avec lui pour des chaussures et… Même pour tout l’or du monde elle se refusait à ce genre de réputation, croqueuse de diamants, femme vénale… Aucun de ces surnoms ne pourraient être le sien elle travaillait dur, peut-être pas légalement, mais elle s’acharnait jours et nuits pour obtenir ce qu’elle s’offrait.

« Et je deviens la petite princesse gâtée de Mr Evans ?! Va crever Paul. » dit-elle en le foudroyant du regard.

L’envie de lui flanquer une belle correction ne lui manquait pas mais en même temps l’idée n’était pas complètement stupide. Mais si tout le monde savait qu’elle n’était qu’une nana parmi celles qu’il se tapait qu’est-ce qu’elle pourrait dire à des potentiels clients ? Surtout que si elle voulait un minimum de crédibilité avec ce genre de plan elle aurait l’air moins conne à ordonner l’exclusivité de la relation à Paul. Mais de toute manière il n’était pas question d’utiliser son plan bidon.

« J’attirerais, certes pas l’attention de mon entourage mais avec ce genre de réputation il est hors de question d’espérer être crédible au près d’un client. Je préfère encore planquer mon argent dans un compte en banque suisse, ne pas y toucher pendant des lustres et prétendre que j’ai gagné à la loterie en Norvège. »

Elle se releva et le toisa en se disant qu’il la prenait vraiment pour une conne. Elle savait qu’elle n’aurait jamais du lui accorder le luxe de la séduire. Elle ne chercha même pas à récupérer le reste de ses vêtements avant de partir se réfugier dans la cuisine avant que l’avant de l’étrangler ne lui prenne vraiment les tripes et qu’elle passe à l’action. L’envie de frapper dans les murs plutôt que de prendre Paul pour un punching-ball lui sembla judicieuse avant qu’elle ne se dise qu’elle pouvait tout aussi bien rentrer chez elle. Elle s’appuya sur l’évier en réfléchissant à ce qu’elle pouvait bien faire, il avait raison en disant qu’elle allait attirer l’attention à utiliser son argent mais elle ne pouvait pas accepter d’être considérée comme la sangsue qui vient pomper le fric nouvellement acquis. Surtout qu’elle débarquerait pile quand il commençait à engranger pas mal d’argent.

Elle retourna dans la chambre pour retrouver Paul. Elle avait pris sa décision et c’était le mieux qu’elle puisse faire pour éviter de voir tous ses plans s’envoler en fumée définitivement.

« Ok pour l’idée qu’on a une relation régulière mais je préfère encore dire que j’ai une amie qui travaille pour Jimmy Choo et qu’elle m’envoie des petits cadeaux plutôt que de dire que ça vient de toi. J’ai ma fierté, Paul. » dit-elle en justification de son soudain accès de colère.

Elle s’allongea à plat ventre à côté de lui, le menton dans une main en attendant de voir ce qu’il allait bien pouvoir lui dire. De toute façon dans le fond l’idée restait la même, elle se faisait passer pour un plan régulier ce qui justifiait ses venues dans le coin. D’ailleurs comment avait-il eu cette idée saugrenue ?

« Dans le fond c’est ce que tu voudrais vraiment, non ? Que je vienne régulièrement pour te donner quelques ordres histoire que tu te tiennes tranquille… Et comme ça si t’es sage tu es récompensé… » dit-elle en lui lançant un regard amusé alors qu’elle traçait quelques cercles du bout du doigt sur sa peau nue.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyLun 17 Mar - 19:29





Paul
Charlie


Sometimes you can't make it on your own



Tout en tentant tant bien que mal de masquer son appréhension, Paul attendait la réaction de la jeune femme. Il pensait avoir eu une brillante idée mais n'était pas sur qu'elle apprécie les sous entendu qu'elle soulèverait. Certes la faire passer pour son "officielle" leur permettrait d'avoir une réponse toute trouvée en cas de question quant à ses dépenses, mais encore devait elle accepter la réputation que ça pourrait impliquer. La brunette vint se laisser tomber à plat ventre à coté de lui mais il ne bougea pas. Tant qu'elle n'avait pas ouvert à bouche pour répondre à sa proposition, il ne broncherait pas. Quand elle brisa le silence il ferma les yeux en crispant le poing, il avait fait une grossière erreur de calcul.

« Et je deviens la petite princesse gâtée de Mr Evans ?! Va crever Paul. »

Elle marqua un temps d’arrêt. Juste ce qu'il fallait à l'américain pour penser qu'il venait de faire le mouvement de trop et qu'il n'arriverait pas à rattraper sa bévue. Certes il n'avait pas le moindre doute quand à la volonté de Charlie de continuer leur business malgré sa connerie, mais ses plans de garder la louve dans son agenda régulier venaient de s'envoler.

« J’attirerais, certes pas l’attention de mon entourage mais avec ce genre de réputation il est hors de question d’espérer être crédible au près d’un client. Je préfère encore planquer mon argent dans un compte en banque suisse, ne pas y toucher pendant des lustres et prétendre que j’ai gagné à la loterie en Norvège. »

Au moment même où elle finissait sa phrase, elle s'était levée et avait quitté la pièce. Notre mécano prit sa tête à deux mains et y étouffa un râle de dépit.

« Ptain Paul t'es vraiment le roi des cons... »

Il se moquait bien qu'elle l'entende à présent. Au pire, elle l'ignorerait totalement ou le prendrait plus plus fou qu'elle le pensait déjà. Au mieux, elle prendrait pitié et oubliait son idée stupide. Il continuait de parler tout seul, murmurant cette fois, il tentait de chercher une phrase toute faite pour s’excuser mais il savait qu'il valait mieux qu'elle n'entende pas son raisonnement. Toujours couché sur le dos, il faisait de grands gestes en marmonnant ses pensées décousues.

« En même temps, je pensais pas à mal... enfin presque pas...c'était parfait comme plan merde quoi... pourquoi faut qu'elle se vexe comme ça...ok niveau réputation ça risquait de faire tache … et puis je me serais retrouvé avec toute la meute à surveiller que je soit un mec bien... remarque il en ont sans doute rien à faire de ça puisqu'elle risque pas de se retrouver avec un gosse... on peut en parler de ça avec une louve sans qu'elle se vexe ? ... mais merde....je pensais vraiment que c'était pas si son comme idée...»

Il interrompit ses réflexions en entendant la jolie brune revenir. Il valait mieux qu'elle n'entende pas les idées idiotes qu'il n'arrivait pas à taire. L'américain se redressait et, non sans afficher clairement sa surprise avec un sourcil levé, la regardait revenir vers lui. Surprise ? Il s'attendait à la voir quitter l'appartement et voilà qu'elle faisait demi tour et s'allongeait de nouveau à coté de lui. Paul se laissa tomber de nouveau en arrière, soulagé.

« Ok pour l’idée qu’on a une relation régulière mais je préfère encore dire que j’ai une amie qui travaille pour Jimmy Choo et qu’elle m’envoie des petits cadeaux plutôt que de dire que ça vient de toi. J’ai ma fierté, Paul. »

« Jimmy quoi ? »

Bien sur il avait parfaitement conscience que c'était loin d'être l'information importante de la phrase mais puisqu'elle était revenue sur le lit, son esprit instable avait rapidement déduit qu'elle ne lui en voulait pas et que cette histoire était close. Mais comme il posait cette question superflue, le reste des mots qu'elle avait prononcés finissaient de faire leur chemin. Il se redressa pour la fixer avec des yeux ronds.

« Relation régulière ? Où sont passés les on ne mélange pas le sex et le boulot ? Attends, attends... je ne vais pas m'en plaindre hein... mais je voudrais juste qu'on soit vraiment surs de ce qu'on fait. »

Une petite voix lui disait de laisser courir, que c'était très bien comme ça, après tout il aurait ainsi le beurre, l'argent du beurre et la crémière en prime. Mais une autre hurlait plus fort à cette instant précis, une voix qui lui rappelait qu'il risquait de perdre le contrôle à un moment où un autre si la louve le sollicitait trop à qu'à cet instant précis il aurait tout perdu, elle, le business et sa tranquillité. Il avait toujours trouvé qu'Amalia s’inquiétait trop à propos des risques inconsidérés qu'il prenait et qui pourraient attirer l'attention de la PES sur lui, mais jusqu'ici il n'avait jamais vraiment pris le temps de l'écouter. Là il fricotait avec une louve. Une louve qui pouvait comprendre qui il était s'il ne faisait pas un minimum attention.

« Dans le fond c’est ce que tu voudrais vraiment, non ? »

Charlie reprenait la parole et le fit sursauter.

« Que je vienne régulièrement pour te donner quelques ordres histoire que tu te tiennes tranquille… Et comme ça si t’es sage tu es récompensé… »

Il répondit avec un sourire carnassier. Pourquoi s’inquiéter après tout, pour le moment il gérait très bien la situation. Il serait toujours temps d'aviser plus tard. Plus tard, quand elle se serait lassée de lui dessiner des petits ronds sur le torse du bout des doigts.

« Peut être.... peut être que c'était mon idée... mais même si tu ne veux pas que l'on pense que je t'entretiens, tu es forcée d’admettre que tu vas devoir justifier ta présence régulière ici. Et puis même si tu te contentes de rester dans le bureau... je veux dire y a plein d'autre choses intéressantes à faire que de se pencher sur des livres de comptes dans un bureau... »

Tous les avertissements que sa raison avait tenté de lui envoyer était bien vains à coté du contact des doigts de la brunette. Comme toujours, il était persuadé qu'il arriverait à s'en tirer sans prendre la peine de ménager la chèvre et le chou. Jusqu'ici ça lui avait plutôt réussit et il ne voyait pas pourquoi sa chance tournerait à présent. Il se cala un peu plus confortablement contre l'oreiller pour profiter des caresses qu'elle lui dispensait, puis fermant les yeux, il ajoute finalement avec un sourire malicieux ;

« De toutes façons je savais bien que tu ne pouvais déjà plus te passer de moi ! »


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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyLun 17 Mar - 22:25




Paul & Charlie


Charlie ne savait pas ce qu’elle voulait, oui, non, peut-être… Elle n’arrêtait pas de changer d’avis pour pleins de choses en se laissant guider par ses plus bas instincts. Il fallait vraiment qu’elle se rapproche de quelqu’un pour maîtriser ce point. Mike ? Il était encore plus taré qu’elle. Hayden C. ? Cela lui semblait une bonne idée. Une petite discussion avec le Loup l’aiderait peut-être à comprendre comment mettre ces problèmes de côté. Mais pour le moment elle était surtout en colère contre Paul de lui suggérer d’endosser le rôle de la potiche qui le collerait pour le danger qu’il représente mais surtout l’argent qu’il avait et dont il lui ferait profiter. Certes, ça collerait plutôt bien à son image, personne ne serait surpris de le voir s’accoquiner avec un malfrat.

Elle l’entendit jurer contre lui-même après qu’elle se soit isolée dans la cuisine. Cachée derrière la paroi qui séparait la cuisine de la salle de bain elle tentait de reprendre ses esprits. L’idée de Paul n’était mauvaise du tout mais elle allait à l’encontre de ce qu’elle voulait afficher. Elle n’était pas faible et cette image ruinerait tous ses efforts. Elle ravala des larmes de rage qui lui montaient aux yeux, elle devait revenir vers Paul, ne serait-ce que pour récupérer ses vêtements. Mais finalement quand elle retourna dans la chambre elle avait décidé de modifier légèrement l’idée pour que cela s’accorde un peu mieux à sa nature même.

Elle l’entendit vaguement parler d’enfants, d’idées pas si bêtes. Il avait dû se faire une réunion avec lui-même et balancer pêle-mêle toutes les idées qui lui venaient à l’esprit. Elle songea pensivement qu’il était vraiment taré mais qu’importe c’était un bon coup et il lui réunissait toutes les qualités d’un bon associé. Il avait certes quelques défauts mais elle pensait pouvoir le canaliser comme elle l’entendait.

« Pitié, ne parles pas d’enfants avec qui que ce soit. Je suis persuadée qu’on peut convaincre un juge que c’est illégal de te laisser répandre ton ADN. » dit-elle en souriant.

Elle ne put se retenir de pouffer de rire en l’entendant lui demander de répéter le nom de la marque. Dire qu’il voulait faire croire à ton monde qu’il lui offrait de tels cadeaux alors qu’elle était persuadée qu’il ne connaissait pas une seule marque de luxe féminine qu’elle affectionnait tant.

Elle l’entendit lui demander des précisions sur le terme de relation régulière dans la mesure où elle lui avait dit que mélanger les deux n’était pas une bonne idée. Elle se contredisait encore une fois ? Plus ou moins cette fois-ci c’était pour une bonne raison. Il était une bonne raison de faire une petite entorse à tous les principes du genre.

« J’ai dit que j’acceptais de prétendre que j’étais une de tes régulières. » précisa-t-elle en haussant un sourcil avec son éternel sourire sur les lèvres.

Ok elle savait intérieurement qu’elle aurait du mal à lui résister à chaque fois qu’il lui ferait des avances surtout quand elle savait ce qu’il y avait au bout. Elle avait encore une crampe aux orteils à cause de l’orgasme fulgurant qu’il lui avait permis d’avoir. Juste pour ça elle trouvait que ça constituait un argument largement valable pour lui accorder un peu plus de son temps personnel.

Comme elle s’y attendait il n’attendit pas longtemps pour lui refaire des propositions indécentes. Faire autre chose que se pencher sur un livre de compte dans un bureau. Elle sourit en se souvenant d’un moment particulièrement agréable avec son avocat. Effectivement les bureaux offraient de nombreuses possibilités de divertissements. A dire vrai, l’endroit tout entier lui donnait pas mal d’idées plutôt marrantes à tester pour voir jusqu’où elle pouvait aller avec lui.

« Alors je viendrais te surveiller de près pour être sûre que tu ne t’enlises pas dans des tâches trop barbantes. Même si l’idée de devoir te faire tenir en place pour étudier les comptes me parait presque impossible. Je vais devoir t’apprendre à tenir un peu en place. »

Elle ne parvenait pas à se défaire de son sourire, ravie de la tournure que les choses prenaient. Elle le vit s’installer confortablement sur son oreiller, satisfait lui aussi. Elle arqua un sourcil en l’entendant prétendre qu’elle ne pouvait plus se passer de lui. Ça sonnait comme un défi et elle ne se faisait pas prier pour réagir. Elle se redressa pour venir se positionner au-dessus de lui, elle s’appliquait à ne pas le toucher une seule fois alors qu’elle avait ses deux mains au-dessus de ses épaules en appui et ses genoux étaient plantés dans le matelas au niveau de ses hanches. Elle se courba de telle sorte qu’il puisse avoir une belle vue plongeante sur sa poitrine mise en valeur par le soutien-gorge de dentelle rose.

« Qui voulait que je devienne aux yeux de tous sa copine officielle qu’il pourrait gâter avec ses richesses à venir ? Si tu avais la moindre idée du prix d’un simple petit ensemble de ce genre tu comprendrais qu’aux yeux de tous tu passerais pour un petit canard qui se fait mener par le bout du nez. » dit-elle en mordillant sa lèvre inférieure avec une envie non dissimulée.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyMar 18 Mar - 10:42





Paul
Charlie


Sometimes you can't make it on your own



Son petit monologue l'aidait certes à se remettre les idées en place mais si elle le surprenait elle allait le prendre pour un fou. Il s'était stoppé à temps comme elle revenait. A temps ? Visiblement pas.

« Pitié, ne parles pas d’enfants avec qui que ce soit. Je suis persuadée qu’on peut convaincre un juge que c’est illégal de te laisser répandre ton ADN. »

Le mécano afficha une petite moue montrant à quel point il s'en voulait d'avoir prononcé ces mots à voix haute. Intérieurement en revanche, il était mort de rire. Si elle avait la moindre idée d'à quel point elle avait raison.... bien qu'il ne s'agisse pas exactement d'ADN dans son cas. De toutes façons, même une petite partie de lui crevait d'envie de voir courir une flopée de petits démons à son image, tout aussi doués que lui, tout le reste de sa personne haïssait cette idée. Il était encore trop loin du chaos pour voir les choses autrement que pour son propre intérêt, ses propres bénéfices, et ceux là ne souffriraient pas de perdre du temps avec de la marmaille, toute démoniaque soit elle.

Allongée à ses coté, elle acceptait finalement une partie de son idée. L'américain se ridiculisait en affichant clairement ses lacunes en matière de marques de luxes avant de s'assurer avoir compris le reste du message. Elle venait encore de changer d'avis concernant la nature de leur relation, à moins qu'elle ne prévoit de ne lui donner de relation que le nom.

« J’ai dit que j’acceptais de prétendre que j’étais une de tes régulières. » 

Prétendre. Elle laissait encore planer le doute. Notre mécano savait cependant que plus elle passerait de temps avec lui, moins elle lui résisterait, n'était-il pas le meilleur ? Sur de lui, il confirmait quand elle lui demandait malicieusement si c'était son plan de départ, si il avait effectivement prévu de profiter de la situation dans ce sens. C'était pourtant évident. Quitte à avoir une louve à porté de mains, autant exploiter tout son potentiel. Et si cette histoire devait mal finir, il pourrait se vanter d'en avoir profité jusqu'au bout. Comme pour appuyer son idée, il tentait à présent de la convaincre du bien fondé de s'offrir un peu de temps libre entre deux livres de comptes dans un bureau.

« Alors je viendrais te surveiller de près pour être sûre que tu ne t’enlises pas dans des tâches trop barbantes. Même si l’idée de devoir te faire tenir en place pour étudier les comptes me parait presque impossible. Je vais devoir t’apprendre à tenir un peu en place. » 

Il fermait les yeux, confortablement lové dans les draps et les coussins, savourant chaque petite image que son esprit tordu venait lui proposer après les belles promesses qu'elle venait de lui faire. Promesses ? Oh il s'assurerait qu'elle les tiendrait, et puis l'idée qu'elle puisse s’essayer à tenter de le faire tenir en place l'amusait. Mais lui revient en mémoire le coup que la belle lui avait fait avec son t-shirt un peu plus tôt et s'il s'était délecté de la situation, il ne pouvait qu’appréhender les idées saugrenues que la louve pourrait avoir par la suite. Appréhender ? Il trouverait de toutes façons à s'en sortir....si il avait vraiment envie de luter. Étrangement les caresses que les doigts manucurés de la brunette lui procuraient ne lui donnait nul envie de se soustraire à ses caprices.

« Oh je suis persuadé que tu sauras y faire...mais je te souhaite bien du courage pour me garder...en place comme tu dis... »

Puis son orgueil démesuré avait prononcé une phrase à sa place. Là elle avait réagit de la manière la plus agréable qu'il aurait pu espérer. Quand il avait rouvert les yeux en la sentant bouger, elle se tenait à quatre patte au dessus de lui, elle ne l'avait pas même effleuré. La première chose sur laquelle son regard se posa fut la délicieuse dentelle rose qu'elle avait enfiler à nouveau en rejoignant la cuisine. Une nouvelle fois, il se mordit la lèvre, incapable de détacher son regard pétillant de la lingerie et de ce qu'elle cachait.

« Qui voulait que je devienne aux yeux de tous sa copine officielle qu’il pourrait gâter avec ses richesses à venir ? Si tu avais la moindre idée du prix d’un simple petit ensemble de ce genre tu comprendrais qu’aux yeux de tous tu passerais pour un petit canard qui se fait mener par le bout du nez. »

Lentement, il releva les yeux pour les planter dans ceux de la belle qui se tenait là. Toujours les deux mêmes petites voix dans sa tête. Celle qui le suppliait de ne pas céder, de s'en tenir à une fausse relation, une couverture pour les curieux qui viendrait poser des questions. Et celle qui hurlait bien trop fort pour qu'il puisse l'ignorer, qui lui hurlait que la louve pouvait bien le mener où elle voulait par le bout du nez pour peu que ce soit aussi agréable que la fois précédente.

« Tu apprendras que je me moque un peu de la façon dont les gens me perçoivent...je sais qui je suis, je sais que je suis meilleur en bien des point que la grande majorité d'entre eux... tu ne serais pas là sinon. »

Il ne pouvait plus attendre qu'elle se décide à agir, même si l'idée qu'elle le domine comme elle était en train de le faire était des plus grisantes. Esquissant un mouvement, il laissa ses mains caresser les hanches de Charlie, puis glisser plus bas. Relevant la tête, l'américain tenta de lui prendre un baiser. Vraiment ce partenariat avait tout pour le satisfaire.


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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 EmptyMer 19 Mar - 10:38




Paul & Charlie


La louve fut rassurer qu’il ne se vexe pas à sa plaisanterie au sujet de son ADN et de la pauvre descendance qui en hériterait. Mais dans le fond il y avait une part de vérité, Paul n’était pas stable dans sa tête et le savoir entouré de petits marmots tout aussi stables que lui faisait peur mais il y avait aussi un petit arrière goût d’amertume, jamais elle n’y aurait droit quand bien même elle le voudrait. Entre ne pas vouloir et ne pas pouvoir il y avait tout un monde, elle savait que Mike se sentait coupable sur le sujet et elle n’en parlait jamais, la plupart du temps elle faisait comme si ça lui importait peu et qu’il y avait pleins d’alternatives qui se valaient.

Elle oublia ce point négatif qui pouvait la mettre dans des états de colère sans nom lorsqu’elle y pensait avec un peu trop d’acharnement pour se concentrer sur Paul et sur son corps entièrement nu qu’elle commençait à apprécier à sa juste valeur. Mais plutôt que de lui avouer qu’elle était plus que prête à céder à la tentation des plaisirs de la chaire elle tenta de lui faire croire qu’il ne s’agissait que d’une image, d’un prétexte à donner aux curieux ou d’un jeu innocent. Pour une fois il restait impassible, il devait se douter qu’elle ne pourrait pas tenir à proximité de lui avec toutes ses avances en continu. Parce qu’il n’arrêterait pas elle le savait très bien.

Et il recommença en effet, il était trop prévisible. Et elle se laissa entraîner avec lui. En lui promettant de le faire tenir en place. Elle avait une belle idée de la manière dont elle pouvait effectivement le faire tenir sur une chaise sans bouger mais de là à dire qu’il serait concentré sur les livres de comptes… Elle devrait peut-être envisager de les retranscrire sur sa poitrine pour qu’il les regarde avec intérêt. Elle ne put s’empêcher de sourire en l’entendant la mettre au défi de le faire.

« Ne t’en fais pas Honey j’ai déjà une bonne idée de la manière de te garder en place et tu vas adorer. » dit-elle avec une étincelle dans les yeux.

Elle était maintenant à quatre pattes au-dessus de lui et elle eut tout le loisir de le voir apprécier le spectacle de la lingerie hors de prix qu’elle exposait juste sous son nez. Elle eut un petit sourire en l’entendant lui affirmer qu’il ne prenait pas attention au regard des autres, il était sûr de lui et était maintenant persuadé qu’elle en savait suffisamment sur sa personne pour lui faire confiance sur le sujet.

Elle répondit à sa demande de baiser en plantant ses lèvres contre les siennes, brutalement au début puis plus sensuellement par la suite. Elle ne ressentait habituellement pas autant de besoins pour toutes ces choses mais elle avait besoin d’oublier les derniers évènements qu’elle avait dû affronter. Que ce soit Constance, la suite chez Mike avec Mirah puis la rencontre avec Hayden. Elle voulait qu’il la satisfasse jusqu’à ce qu’elle puisse enfin s’endormir d’épuisement pour ne pas repenser à ces évènements qui la hantaient.

« Alors champion, montre-moi ce dont tu es capable. » dit-elle après s’être arrachée à ses lèvres pour venir coller son corps contre le sien pour qu’il comprenne ses désirs uniquement grâce à ce que son corps lui disait.

Cette nuit-là pour la première fois depuis deux nuits elle trouva le sommeil sans aucun problème elle n’eut même pas le souvenir d’un cauchemar ou quoi que ce soit. Tout ce dont elle se souvenait s’est de s’être effondrée de fatigue juste après avoir atteint le summum du plaisir. Qu’il ait fini son affaire ou non elle en avait strictement rien à faire, elle s’était roulée en boule dans les draps, loin de tout contact avec son associé. C’était uniquement parce qu’elle était épuisée qu’elle ne reprenait pas sa voiture pour dormir chez elle. Il était hors de question que cette histoire recommence, elle lui concédait les parties de jambes en l’air occasionnelles mais elle devrait s’appliquer à garder une certaine distance avec lui.

Au milieu de la nuit elle se réveilla en sursaut, le cœur battant incapable de se rappeler ce qui venait de la tirer de son sommeil. Elle rejeta les draps sur Paul qui semblait encore dormir et s’habilla rapidement avant de laisser un petit mot sur le frigo : « Oublie pas d’appeler pour les travaux. » Elle noté son numéro de téléphone en dessous du message avant de repartir avec sa voiture. La nuit était terminée pour elle, peut-être aurait-elle le temps d’aller se dégourdir les pattes ou d’avancer sur les différents travaux qu’elle avait en cours.

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MessageSujet: Re: –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé]   –› Sometimes you can't make it on your own ‹– [Livre II - Terminé] - Page 2 Empty

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